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Histoires Gay

Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 10:06
Bruno---Dane--1-.jpg Une fois n’est pas coutume, je devais me rendre en déplacement avec un collègue pour traiter un dossier délicat. La réunion était fixée tôt dans la matinée et donc, nous avions convenu de passer la nuit dans un hôtel proche afin de ne pas se taper la route le matin.
Mon collègue est en fait aussi un ami d’enfance, nous avions fait nos études ensemble puis nos chemins s’étaient séparés. Nous nous étions retrouvés, huit ans plus tard, dans la même boîte mais dans deux services différents. On se croisait de temps en temps mais nous n’avions jamais travaillé ensemble sur un même dossier. Celui-ci serait donc une première. Pour faire des économies à la société, on avait loué une chambre double.
Mon collège, Nico, était marié depuis neuf ans et était papa de trois enfants. Moi, mon mariage était fixé pour la fin de l’année et les préparatifs étaient en cours.
Nous voilà donc dans l’auto, on cause de tout et de rien, on se remémore nos folles années à l’unif, nos sorties, les soirées bien arrosées, les cours, etc. Arrivé à l’hôtel, on a décidé d’aller se taper un bon petit gueuleton dans un petit resto sympa. Le vin a coulé à flot et on parlait de pas mal de sujet. On est arrivé sur le sujet du sexe, le vin avait passablement fait son effet et on était tous les deux bien joyeux! On avait retrouvé la complicité d’entant.
— Tu sais moi, avec Astrid (sa femme), au début c’était l’extase! On baisait comme des bêtes tous les soirs. Puis, avec le temps et les enfants, ça s’est fortement ralenti et, maintenant, quand on baise une fois par mois, c’est bien! Ça lui suffit entièrement...
— Une fois par mois! C’est pas grand-chose! Moi, j’tiendrais pas!
— Tu parles, au début, c’était pas évident! Je tournais comme un lion en cage! Malgré les discussions, pas moyen de la faire changer d’avis, elle n'avait plus envie!
— Elle a un amant?
— Non, même pas! Elle n’en a pas besoin! Et puis, on s’est juré de ne pas se tromper et, une promesse, c’est une promesse!
— Donc toi non plus, t’as pas d’autre femme? Comment tu fais? Ta main droite a repris du service?
— Rigole pas, c’est pas drôle! Au début oui... Puis j’ai découvert autre chose!
— Quoi? T’as découvert internet et le cyber sexe?
— T’es con! Ça ou la main droite, c’est la même choses!
— Dis-moi quoi alors!
— Tu m’jures de garder le secret?
— Promis!
— Et bien, c’est bien simple, j’ai découvert le sexe entre homme et, ça, ça m’a permis de tenir!
— ???
Bruno---Dane--2-.jpg J’étais bien étonné! Pour moi, Nico était le type même du parfait hétéro un peu macho avec une éducation judéo-chrétienne assez stricte. Et là, il m’avouait avoir des relations homos!
— Ça t’étonne?
— Un peu, oui! Je m’attendais pas à ça de ta part!
— C’est vrai? Bon, d’accord, tu m’aurais dit ça y’a trois ou quatre ans, je t’aurais ri au nez! Mais J’te jure, ça a sauvé mon couple!
— Dis moi pas n’importe quoi!
— Si, grâce à ça, je suis équilibré: plus besoin de baiser avec Astrid tous les jours! Une fois de temps en temps, ça suffit!
— Et comment t’en es arrivé là?
En fait, je me rendais compte que ce qu’il me racontait, au contraire de me dégouter, m’excitait vachement!

Simple: au mois d’août, il y a deux ans, j’ai eu un stagiaire de 19 ans, Geoffrey. Il était plutôt mignon. Belle gueule d’ange. J’étais chargé de m’occuper de lui pendant deux mois pour le former et puis lui fournir du travail et vérifier qu’il le fasse correctement. La première semaine, il logeait chez une de ses tantes mais au bout d’une semaine, il a loué le petit appartement dans l’annexe, chez moi. Je l’ai aidé pour son déménagement.
Astrid était partie en WE chez sa mère avec les enfants. En fin de journée, on était crevé mais son appartement était rangé. Il restait juste deux ou trois caisses. Il m’a dit qu’il rangerait lui-même mais j’ai insisté pour l’aider et je voulu lui prendre une caisse des mains. Elle a glissé et tout son contenu s’est étendu par terre. T’aurais dû voir! Y’avait deux ou trois godes, des magazines pornos gais, des DVD. Il est devenu rouge pivoine... Moi, quand j’ai vu ça, je ne sais pas pourquoi mais je me suis mis à bander! Je me suis penché pour ramasser. Lui, il était tétanisé et n’osait plus rien dire ni faire.
J’ai commencé à feuilleter un des magazines. Comme je voyais bien qu’il était mal à l’aise, j’ai brisé la glace et lui ai demandé si je pouvais pas lui emprunter un ou deux magazines et un ou deux DVD... Il était étonné puis a baragouiné que ça le dérangeait pas...
— Lequel tu me conseilles?
— ???
— J’ai jamais vu de film gai, alors, lequel tu me conseilles en premier?
Là, il s’est senti plus à l’aise et a commencé à me montrer. Je posais pas mal de question et je lui ai demandé depuis quand il était homo.
— Je suis pas homo, je suis bi!
— Bi?
— Bin oui, bisexuel! J’aime les hommes et les femmes! J’ai une copine mais de temps en temps, je baise avec un homme!
— Ta copine le sais?
— Bien sûr que non! Mais baiser avec un homme, c’est pas la tromper! Je me vide les couilles, c’est tout!
Je me rendais compte que j’étais devenu stagiaire à mon tour et que maintenant, c’est lui qui m’enseignait une autre manière de voir les choses!
— T’as jamais baisé avec un homme, toi?
— Non! Jamais! T’es fou?
— Et t’en a jamais eu envie?
— Non!
— Même quand t’étais ado?
— Heu... non...
— Même pas en te branlant quand t'étais ado?
— ... en fait, si... Mais c’était y’a longtemps!
— Tu fantasmais sur les bites de tes copains de classe que tu voyais dans la douche, hein?
— ... Oui mais ça n’a pas duré longtemps!
— Moi, ça a duré! Et même quand j’ai couché avec une fille, j’ai gardé le fantasme! Un jour, j’ai eu l’opportunité de baiser avec un copain et on s’est pas privé! Crois-moi, on a joui comme jamais!
Moi, j’étais super excité par ses histoires. Une bosse s’était formée dans mon jeans.
— Tu veux que je te montre? m’a-t-il demandé.
Bruno---Dane--6-.jpg Ensuite il s’est approché de moi, a soupesé mon paquet, s’est mis à genoux et a baissé la braguette. J’avais pas de sous-vêtement et ma queue a bondi. Il s’est mis à l’embrasser puis a englouti mon gland! C’était bon! Il suçait comme personne ne m’avait sucé avant! Juste à la limite de jouir, il s’est retiré et a retiré ma chemise. Il a commencé à me lécher les têtons en me caressant entre les jambes. J’étais sous son emprise.
Il m’a assis sur le fauteuil, a retiré sa chemise et son pantalon. Il avait un boxer blanc Calvin Klein et je devinais une grosse bosse. Il est revenu me sucer puis est remonté en léchant mon torse pour arriver à ma bouche. Notre baiser était enflammé! J’étais excité comme jamais! Lentement, il est redescendu et a repris mon membre en bouche. En deux minutes, il m’a envoyé au septième ciel! Il a tout avalé en me regardant dans les yeux. Puis, pendant que je planais encore, il est venu me présenter sa bite devant ma bouche. Elle était longue et fine. Je l’ai sucé, il m’a pris la tête et puis, il a commencé à me donner des coups de reins. Il me baisait la bouche et a joui. J’ai essayé d’avaler ses quatre ou cinq jets mais il est revenu m’embrasser. On a mélangé nos salives et son sperme.
Par après, il m’a appris la sodomie. Je l’ai enculé puis lui m’a dépucelé de l’arrière! J’te raconte pas les deux mois de stage: tous les jours, on baisait! Il est reparti en province et on se revoit parfois pendant ses vacances!

Bruno---Dane--5-.jpg Moi, je restais étonné de son histoire... Je ne savais pas quoi dire. À ce moment, le patron du resto est venu nous dire qu’il allait fermer. On a payé et on est rentré à l’hôtel. Dans la chambre, je ne disais rien. C’est lui qui a brisé la glace.
— Ça te dégoute pas trop ce que je t’ai raconté?
— ... Non non, ça va...
Dégouté? C’était pas le bon mot! J’étais plutôt excité! Il avait réalisé mon plus gros fantasme: sucer une bite et se faire enculer! Mais comment le lui dire... Pas évident d’avouer un fantasme... Même si lui venait de m’avouer sa bisexualité!
— Tant mieux! Je vais prendre une douche avant de dormir!
Et il s’est déshabillé. Je me changeais aussi en le regardant du coin de l’œil. Il était de dos. Il a retiré son boxer noir et j’ai vu ses belles fesses musclées. Il s’est retourné et s’est dirigé vers la salle de bain. Heureusement qu’il ne s’est pas retourné ou sinon il aurait remarqué que je n’arrivais pas à décrocher mon regard de sa queue. Elle faisait bien 15cm au repos. Plutôt fine, terminée par un gland bien luisant. Il était circoncis. C’était en fait la première fois que je le voyais à poil...
Directement j’ai bandé. Je me suis rendu compte que ça faisait une semaine que j’avais plus baisé et que mon boxer était plein de précum, suite à ses confidences de tout à l’heure. J’entendais la douche couler. Je me suis déplacé vers son boxer qu’il avait laissé près du lit. Je l’ai pris et ai commencé à le humer. Ha, cette odeur de mec! Je ne me reconnaissais plus!
J’ai commencé à me branler. A ce moment là, Nico est ressorti: il avait oublié son shampoing! Quelle scène il a dû voir: moi, à poil sur son lit tenant dans une main son boxer, en train de le sentir et l’autre main en train de me branler... L’étonnement a fait place à un petit sourire sur son visage... Moi, je bougeais plus. Il s’est approché de moi et m’a dit:
— Pas besoin de te cacher! Suffit de demander!
J’étais rouge pivoine. Il est venu s’asseoir à coté de moi, j’avais jeté son boxer au sol, il m’a regardé dans les yeux et a approché sa bouche de la mienne. Notre baiser a duré... pour moi, ça semblait une éternité mais c’était tellement bon! Sa main est venue se poser sur ma queue qui avait débandé et a commencé un va-et-vient. Je commençais à gémir quand il a lâché ma bouche. Tout en continuant à me branler, il a passé son autre main dans mon cou et m’a poussé en avant. J’vais en face de ma bouche sa belle queue toute bandée. Elle devait bien faire 27cm! Je ne me suis pas fait prier et l’ai engloutie. Je me suis mis à le sucer comme si ma vie en dépendait! Il a abandonné ma queue et sa main est venue titiller mon petit trou. J’ai essayé de serrer les fesses mais il m’a un peu plus poussé dans le cou, j’ai englouti sa queue jusqu’à la base, manquant de m’étouffer. En parallèle, un de ses doigts était entré dans mon fondement. L’étonnement laissait place à une sensation de bien-être.
Bruno---Dane--9-.jpg Il a ensuite introduit un second doigt. Il a retiré sa main dans mon cou: j’avais trop envie de le sucer, plus besoin de m’y obliger. Puis, il m’a redressé, m’a obligé à me mettre à quatre pattes. Il est venu derrière moi, a craché sur mon petit trou et me donnait ses doigts à lécher. J’étais vraiment soumis, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il a présenté son gland sur mon petit trou et a commencé à pousser. À mon grand étonnement, il est rentré tout seul! Je n’avais pas mal. Il a remis de la salive puis a donné un petit coup de reins, je l’ai senti rentrer en moi. Ça a duré quatre ou cinq minutes, il ressortait un peu, crachait ou me faisait cracher dans sa paume puis le mettait sur mon trou et puis s’enfonçait un peu plus. Je l’ai senti s'enfoncer jusqu’à la garde. J’avais ses 27cm dans le cul et je n’avais pas mal!
Il n’a pas bougé pendant deux ou trois minutes puis a commencé de petits mouvements puis alternait: quatre ou cinq petits mouvement suivi d’un mouvement plus ample. Je sentais une douce sensation monter en moi. Ça a duré une bonne demie heure et le plaisir ne faisait qu’amplifier. À la fin, j’ai joui sans me toucher, c’était comme un feu d’artifice dans ma tête et lui, il s’est laissé aller, est ressorti et m’a lâché quatre ou cinq jets qui ont atteint mon cou...
Pour la première fois depuis tout à l’heure on a parlé:
— Tu vois, c’est jouissif, le sexe entre hommes!
— Ah ouaip! Là, tu viens de réaliser mes deux plus gros fantasmes!
— Et ça t’a plu, alors?
— Plutôt! On recommence quand tu veux!
— Bon, il est une heure. Là, je vais prendre ma douche.
Et il est allé vers la douche, je l’ai suivi. Je lui ai savonné le dos et n’ai pu m’empêcher de lui sucer sa belle queue qui m’avait fait tant jouir! Il a craché son jus dans ma bouche puis m’a embrassé.
Nous sommes allés nous coucher. On a dormi dans les bras l’un de l’autre.

Le matin, il s’est réveillé vers 6h, sa bite était contre mon petit trou. Il n’a fait ni une ni deux et m’a enfoncé sa belle queue. Je me suis réveillé et j'ai joui deux fois sous ses assauts.
Lors de la réunion, je planais sur mon petit nuage mais les clients attribuèrent ça à la longue route qu’on avait dû faire... La réunion fut envoyée en une heure et, à notre retour à l’hôtel, Nico m’a encore pris en levrette. En le reconduisant, je l’ai encore sucé dans l’auto avant de se quitter.
En rentrant à la maison, j’ai baisé ma copine comme jamais!
Le mariage est plus que jamais au programme mais trois ou quatre fois par semaine, je vois Nico pour une petite partie de jambes en l’air. Officiellement, nous jouons au tennis et au squash. Je suis devenu son vide-couille et, moi, ça me plaît!
La semaine prochaine, Geoffrey vient passer une semaine chez Nico. Nico m’a promis de faire les présentations. J’ai hâte de me faire prendre par deux hommes virils à la fois...
Ce sera peut-être une autre histoire?

Bruno---Dane.jpg

Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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Samedi 18 août 6 18 /08 /Août 11:50

Bonjour, je m'appelle Romain, j'ai 19 ans. Les études et moi, ce n'était pas le grand amour, j'ai fait plein de petits boulots et voilà depuis six mois grâce à un copain, j'ai un boulot où je m'éclate. Je dois préciser que le copain, Nicolas, c'est plus qu'un camarade, on n'a pas beaucoup de points communs, lui c'est une tête, ce que l'on a en commun c'est la baise, entre nous c'est physique, on bande en se voyant. Aussi quand il m'a parlé de me pistonner dans une boîte où il avait fait un stage, je n'y croyais pas, mais je lui ai filé un CV.

Belami-Boy--423-.jpg Deux jours après, j'étais appelé par le directeur de cette boîte en personne, pour me fixer rendez-vous l'après-midi même. Je fus reçu par trois beaux mecs, le directeur 30-35 ans type latin, belle gueule au carré, son secrétaire, 20-25 ans, blond, de longs cheveux attachés en catogan, et un troisième personnage que l'on me présenta comme mon responsable direct: le chef de la sécurité

— Nicolas nous a parlé de toi et comme nous avons besoin d'un agent de sécurité dont la principale qualité sera la discrétion, il pense que tu peux faire l'affaire, attaqua de suite le directeur.

— Il nous a vanté tes qualités d'ouverture, et il pense que tu pourrais te défoncer dans ce boulot, ajouta le chef de la sécurité en me souriant.

— Au vu de ton CV, on a décidé de te prendre. À l'essai un mois, suivi d'un CDI si tu réponds à nos attentes. Tu commences tout de suite. Si tu es OK, Fred te fait visiter la maison.

L'entretien avait duré cinq minutes et je me retrouvais dans le couloir avec le chef de la sécurité qui me précisa que je pouvais l'appeler Fred. Nous nous sourîmes en nous jaugeant du regard. Il me proposa de commencer la visite par le centre de surveillance qui serait mon lieu de travail.

En chemin, je sentais son regard me déshabiller. Je le trouvais très sympathique, mais me sentais tout chose devant lui. J'avais le sentiment de baigner dans une ambiance érotique aussi quand je me retrouvais dans le centre de surveillance, la vision sur l'écran principal de contrôle du bureau que nous venions de quitter avec deux beaux gaillards en train de se caresser, n'était pas pour me surprendre

Belami-Boy--429-.jpg Je reconnus le blond à son catogan, c'était Éric, le secrétaire du directeur. Il avait ma foi un corps magnifique, finement musclé, une peau bien bronzée, deux jolies fesses bien bombées et une queue bien droite et bien veinée. Son partenaire un brun aux cheveux court, la dégaine très virile, le fait mettre à genoux lui présentant une verge épaisse en semi érection sur deux jolies boules rasés. Le secrétaire ne se fait pas prier pour le gober, on sent chez lui une bonne pratique et l'amour du travail bien fait. Pendant que ses lèvres tètent avec application un sexe qui commence à prendre des proportions enviables, ses mains s'occupent avec habileté des testicules.

Fred, semblant ignorer complètement la scène se jouant sur l'écran, continuait ses explications sur le fonctionnement du centre. Pour ma part, complètement fasciné par la scène se jouant sur l'écran, j'oubliais mon interlocuteur. Maintenant le blond se mettait à quatre pattes, présentant ainsi ses superbes lobes fessiers à son partenaire qui s'empressait de les lécher, travaillant profondément de la langue pour bien lui lubrifier la rondelle.

Je n'émergeais de ma léthargie qu'en sentant la main de Fred se poser sur mon paquet. Ma passivité l'encourageait à continuer

— J'ai l'impression que tu es un peu distrait. Je pense connaître un sujet qui devrait te passionner.

En disant ces paroles, il prit ma main pour la poser sur son entrejambe.

— Là je te sens un plus présent.

Je me décidais à participer à l'action:

— Hum! Ça me paraît très prometteur. Je peux goûter?

Belami-Boy--460-.jpg Ce que j'aimais ça, découvrir pour la première fois le sexe d'un autre homme. M'accroupissant devant lui, j'ai passé ma main dans sa braguette et lui ai libéré la queue. J'ai passé ma langue sur sa bite, une bite longue et épaisse avec une veine gorgée de sang. Dès que je commençais à lui titiller le gland, il se mit à gémir.

— Tu aimes ça mon salop, je vais bien te pomper à fond.

— Vas-y prends tout, mets en route ta pompe à foutre.

C'est tellement bon de sucer et d'aspirer le braquemart d'un mec que je ne me fais pas prier. C'est en arrondissant la bouche que je m'empare de ce membre qui n'attendait que ça! Je passe la langue sur le gland et titille le frein puis continue en léchant les testicules en les gobant un par un. Fred me redressa et me déshabilla complètement. J'étais maintenant entièrement nu devant lui toujours en costume cravate, avec seulement son braquemart jaillissant de la braguette. J'étais sa petite chienne soumise.

Il me retourna en me demandant de prendre appui sur le bureau face à l'écran. J'ai écarté les jambes et sa bouche s'est posée sur mes fesses et sa langue est venue sur mon petit trou. Elle pénétrait profondément; mon trou s'ouvrait tout seul. J'ai ensuite senti un doigt qui forçait l'entrée de mon anus. Il était lubrifié avec du gel qu'il avait sorti d'un des tiroirs du bureau. Son doigt entrait et sortait. Ensuite, un second doigt puis un troisième sont venus rejoindre le premier. À chaque mouvement, je poussais un gémissement de plaisir.

Belami-Boy--421-.jpg Sur l'écran, le secrétaire venait de se faire enfiler. Son compagnon empoignant sa chevelure d'une main comme des rênes le menait hardiment, le tenant seulement embroché sur sa queue et par les cheveux. On voyait la queue d'Éric battre la mesure dans le vide sous les coups de boutoir. Son partenaire de sa main libre lui prit les couilles qu'il se mit à malaxer.

— Tu aimes les regarder ces deux petits cochons. Tu comprends pourquoi il me faut un assistant, je ne peux pas passer mes journées à mater avec ma main comme seul compagnon.

Fred s'est redressé et est venu présenter son sexe contre mon trou dilaté. Il a donné de petits coups de reins et son sexe s'est enfoncé petit à petit. Mon cul avait beau avoir l'habitude d'être visité, je n'en avais jamais pris d'aussi grosse. Une fois que son gland a été bien entré, j'ai senti qu'il s'enfonçait de plus en plus facilement. Il me susurrait à l'oreille.

— Ça va, Romain? Tu me sens bien? Tu aimes?

Pour toute réponse, je soupirai d'extase. Il a commencé à me limer le cul, il me tenait les hanches, ses mains me caressaient le dos, les cuisses, le ventre. Je sentais sa queue aller et venir et j'aimais ça.

— Encooore, défonce-moi, viens! Plus fort!

Belami-Boy--560-.jpg Ses mouvements s'amplifièrent. Je sentais sa queue qui me transperçait puis ressortait quasi complètement. Il s'enfonçait maintenant complètement. À chaque mouvement, je gémissais et lui aussi. Au bout d'un moment, il m'a pris à deux mains par les hanches, a accéléré son mouvement. Il allait plus vite, plus fort; je me suis penché en avant, cambré à fond. Je l'entendais gémir de plus en plus à chaque coup de queue qu'il m'enfilait. Je triquais à mort.

Je serais incapable de dire le temps qui est passé mais le plaisir montait en crescendo. J'étais cramponné de mes deux mains au bureau et à un moment, j'ai senti un puissant orgasme m'envahir le corps, en partant de mon cul. Cet orgasme était violent et a duré un moment qui m'a semblé interminable. À la fin, j'ai senti sa queue qui sortait et j'ai senti sa jouissance sur mon dos. Je sentais le foutre couler dans mon dos pendant qu'il finissait de s'essuyer la queue sur mes fesses

— C'est bien ce que nous avait dit Nico, tu es une bonne petite salope. Tu aimes la bite!

— Nico vous avait parlé de quoi?

Exhib---2-.jpg — Pourquoi tu crois que l'on t-a embauché aussi vite? Il avait bien adapté ton CV, précisant tes mensurations, tes goûts sexuels, il avait joint une série de photos des plus parlantes. Demande à Éric de te les montrer.

— Comment Nicolas connaissait vos critères de recherche?

— Quand il a fait son stage, je l'ai surpris en train de sucer un de ses collègues. Depuis il a pris goût à ma bite. Il me trouve de temps en temps des stagiaires, qu'il m'aide à former et quand je lui ai parlé de la création de ce poste, il a appuyé ta candidature, il a même donné de sa personne. Tu ne crois quand même pas être le seul à lui avoir ramoné les entrailles. Il s'est retrouvé plus d'une fois à ta place. Je te montrerai, j'ai quelques vidéos très chaudes avec lui et quelques amis auprès desquels je t'introduirai.

— Tu veux dire qu'ils m'introduiront? Je n'ai jamais participé à des partouzes mais je ne demande qu'à apprendre et je pense avoir trouvé avec toi, un instructeur de choix.

Comme je posais ma main sur sa bite au repos pour essayer de lui redonner un peu de vigueur, il m'arrêta.

— Tu es insatiable, laisse-moi un peu reprendre mes forces. Va plutôt voir Éric pour remplir ton contrat, il a terminé avec Max. Mais fais gaffe à tes bijoux, dit-il en me massant l'entrejambe. C'est un gourmand!

Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 11:16
Ryan-Phillipe---Josh-Elliot.jpg Je me présente, je m'appelle Franck et j'ai aujourd'hui 26 ans. Mon histoire a débuté quand j'avais aux alentours de 14 ans, à l'époque où on se masturbe régulièrement.
Comme une majorité de mecs, je regardais des films pornos et me branlais pour un oui ou pour un non, tous les soirs, le midi... J'avais quelques copains proches et un particulièrement avec qui on se masturbait: son père avait une collection de pornos impressionnante et on profitait des mercredis après-midi pour se les mater.
Son nom était Stéphane. Roux, musclé déjà pour son âge, il avait un truc qui m'attirait, pourtant j'aimais et j'aime les femmes, mais lui, je le voulais. Après plusieurs séances devant la télé, nous sommes montés comme d'habitude se finir dans sa chambre. On s'allongea sur son lit avec seul un t-shirt sur nous et on commença à se branler. Je ne pouvais pas détourner mon regard de sa bite de taille modeste mais qui m'attirait. Je lui demandais alors si je pouvais la toucher et le branler. Il me dit oui et je pris sa queue en main pour la première fois. C'était génial de le sentir prendre du plaisir comme ça. Il ne voulut pas me rendre la pareille ni que je le fasse jouir mais ce fut bon pour une première.
À partir de ce jour, nous essayions de dormir l'un chez l'autre le plus souvent possible pour avoir toute la nuit pour se toucher car rapidement, il avait entrepris de prendre ma queue. Dès que nos parents se voyaient, mangeaient ensemble, on s'arrangeait pour finir dans le même lit. Au début, nous étions l'un à côté de l'autre sur le dos et on se branlait à tour de rôle, mais rapidement, j'avais envie d'approcher sa queue de plus près. Je sentais en moi d'autres désirs plus avancés. On se mettait alors toujours sur le dos mais tête-bèche, ce qui me permettait d'avoir la tête à hauteur de sa bite et de la sentir, de la renifler, de la branler en la regardant de près. Plusieurs fois, j'ai mis ma bouche au-dessus, profitant de l'obscurité pour m'en approcher. Plusieurs fois je l'ai fait jouir et j'ai goulûment avalé le sperme qu'il me lâchait sur la main.
Je n'en pouvais plus, dès que je le voyais, un mécanisme sexuel s'activait en moi et j'avais envie de sa bite! J'adorais le finir en me mettant à genoux entre ses jambes et en allant jusqu'à ce que son sperme vienne s'écraser sur sa poitrine. Puis je léchais mes doigts après avoir pris soin d'avoir le plus de semence possible sur ma main, pour être rassasié.
4Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg C'est à cette époque que j'ai commencé à gouter mon sperme, à tenter de me faire des auto-fellations et à m'asperger le visage avec mon foutre. Durant cette période (j'avoue qu'encore aujourd'hui...) je m'enfonçais tout ce que je pouvais dans le cul pour ressentir ce que pouvais être une sodomie. Je m'achetais des capotes que je mettais sur mes "godes" dont mon préféré, un tube de laque de 25cm de long sur 5 de circonférence, et je m'enfonçais ça bien profond et je m'activais dessus comme un fou jusqu'à hurler mon plaisir.
Ma sexualité prenait une autre dimension et je profitais de l'obscurité pour de plus en plus m'occuper de la queue de Stéphane en restant à genoux entre ses cuisses tout en me doigtant le cul, attendant impatiemment sa queue pour remplacer mes doigts.
Un an plus tard, je devais alors avoir 15 ou 16 ans, nous étions parti dans la maison de campagne de mes parents avec ma mère. Nous dormions dans la tente dehors, la maison étant petite et surtout cela nous permettait de faire le mur la nuit. Mais ce qui m'intéressait, c'était lui et ce qu'il avait entre les jambes. Dès le premier soir, à peine entrés dans le duvet, je lui mis la main sur son paquet et il ouvrit son duvet, baissa son caleçon. Je fis de même et nous avons pris nos queues en main pour commencer doucement. Comme j'aimais ça, il prenait mes couilles dans sa main pendant qu'il me branlait; il savait y faire et ça me rendait dingue. De mon côté, j'étais juste au-dessus de sa bite, la regardant subir mes aller-retours. Je sentais monter en moi une frénésie incontrôlable et de son côté, il semblait plus enclin à aller plus loin que d'habitude, n'hésitant pas à me caresser les cuisses et le ventre. Ne tenant plus, je lui demandais:
— Tu t'es déjà fait sucé?
— Non, et toi?
— Non.
2Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg J'avais lancé l'appel, je ne pouvais pas en rester là:
— Je peux te sucer s'il te plaît? lui demandais-je doucement de peur de sa réaction.
— Si tu veux...
Je me mis allongé à ses côtés et je m'avançais vers son membre doucement. Je léchais son gland, en faisait le tour avec ma langue, l'embrassant tout du long avant de la prendre dans ma bouche. Quelle sensation, à la fois bizarre et impossible à oublier. Je m'activais sur sa queue, l'entendant gémir. Je l'avalais complètement tout en me doigtant les fesses avec ferveur. Je voulais être plus soumis et qu'il me montre vraiment son plaisir. Je me suis mis sur le dos et lui est venu sur moi. Il était à genoux et se branlait dans ma bouche. Je lui caressais les fesses, me touchais en même temps et voulais qu'il me remplisse la bouche mais il s'arrêta, se mit sur le dos et me demanda de le finir à la main. Une fois qu'il m'avait fait jouir aussi, je me sentis à la fois heureux et honteux d'avoir sucé un mec.
Cette honte fut vite balayé et dès le lendemain: je le resuçais avec un plaisir non feint.
S'en suivit une période de folie d'environ deux ans, nous nous touchions partout et tout le temps. En partant au ski en voiture, nous étions à l'arrière, moi derrière le chauffeur et lui à mes côtés. Les deux autres personnes dormaient et nous nous branlions avec un duvet sur les genoux; je descendis même lui lécher le gland quelques secondes. Toutes les soirées se finissaient ensemble, quitte à écourter la fête. Après un concert, nous allions avec les cinq autres personnes nous accompagnant au camping. Nous avions 3h30 de route et je conduisais. Nous prenions donc un verre avec des personnes rencontrées lors du concert puis Stéphane alla se coucher. Je prétextais la fatigue et la conduite du lendemain pour aller le rejoindre. Dans la tente, à deux mètres de nos amis, je l'ai sucé pendant de longues minutes en lui caressant l'anus mais cela ne lui plut guère et j'arrêtai vite. Par contre, il jouit sur son torse et je goûtais son sperme goulûment et cette fois, il me vit faire. Il me demanda pourquoi je faisais ça et je mentis; je dis que je voulais y goûter, voir le goût.
Encore après une soirée, nous nous sommes débrouillés pour se retrouver dans le même lit et nous savions lequel prendre pour être tranquille. En effet, un copain a une maison sur trois niveaux et sa chambre est au troisième, le salon et la chambre de ses parents au deuxième et au rez-de-chaussée, seule une chambre avec un lit et le garage. C'est là que nous avions pris place. À la fin de la soirée, passablement éméché, j'avais envie de sexe. Stéphane aussi et tout le monde alla se coucher en haut. Cette période était géniale car je me déshabillais complètement avant de me coucher et je m'aprochais à peine du lit que déjà Stéphane avait ma queue en main et me branlait pendant que je m'installais. Ce soir-là, je fus pris d'une envie frénésique de sperme et je le suçais avidement dans plusieurs positions, lui debout moi assis sur le bord du lit, lui allongé, moi à genoux, lui à genoux sur le lit, moi à quatre pattes, me caressant l'anus sans discrétion, et c'est ce jour qu'il me caressa pour la première fois l'anus sans pour autant entrer mais il passa plusieurs minutes à me caresser et je mis deux doigts dedans pendant que lui poussait sur ma main pour donner le rythme à cette pénétration. Je le sentais prêt à jouir mais il me demanda de ne pas le faire jouir dans ma bouche et il se mit sur le dos. Je me suis alors mis à genoux entre ses cuisses, collé mon sexe contre le sien et j'ai branlé nos deux queues en même temps entre mes mains. Nous avons joui assez rapidement tous les deux et tout le foutre est allé se mélanger sur son torse. J'en voulais encore et me suis précipité sur sa queue pour la nettoyer. Il me dit:
— C'est dégueulasse, arrête!
— Mais non, laisse-toi faire.
— C'est toi qui vois!
Et je lui ai ainsi nettoyé la bite.
L'été était là avec ses fêtes à répétition et aussi les soirées en semaine où je restais dormir chez lui. Mon nouveau plaisir était de le sucer allongé, lui au-dessus de moi et de le faire jouir sur mon torse. Je me régalais de cette situation. Plusieurs fois, nous nous sommes mis en 69 mais il me branlait tandis que je le suçais. Je lui demandais un jour de me sucer mais sa réponse fut sans équivoque:
— Si tu veux faire des trucs de PD, tant mieux pour toi, mais pas moi!
— Tu te fais sucer par un mec depuis plusieurs mois, et t'es pas PD pour autant, ça changera rien à ta sexualité de me pomper...
— Non, c'est non!
5Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg Je ne pouvais pas arrêter de le sucer même après cette discussion et ce fut la première fois que je le fis jouir dans ma bouche, rejetant le sperme sur son ventre. Sa réaction fut là encore assez déroutante, me disant que c'était dégeu, etc...
Une semaine après, nous sommes partis en Bretagne pour un weekend de camping et bien sûr, entourés de couples, nous ne pouvions faire autrement que d'être dans la même tente. À peine couchés, c'est lui qui me mit la main au paquet et qui s'activa sur mon membre qui n'attendait que ça. Il s'arrêta, je descendais ma main, le branlai et allai assez vite mettre ma bouche sur son gland pendant quelques minutes et me relevai. Je pris sa tête dans ma main et l'encourageais à aller vers le bas et, surprise, il descndit et me gratifia d'une pipe géniale, longue et je ne pus m'empêcher de me mettre en 69 sur le côté pour lui bouffer la queue sans retenue pendant qu'il faisait de même. Au bout d'un long moment, il se remit à l'endroit et reprit ma bite dans sa main, comme si de rien n'était et ne me suça plus de la soirée. Moi par contre, je lui demadais quelle position il préférait pour jouir et il vint à genoux au-dessus de moi et je le branlais, la langue sortie, sans équivoque sur ce que je voulais et j'aspirais ensuite seulement son gland, le branlant franchement jusqu'à ce qu'il me remplisse la bouche de son foutre que j'avalais jusqu'à la dernière goutte.
7Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg Plusieurs fois, j'ai avalé son foutre et il m'a resucé nombre de fois aussi. Nous ne pouvions finir une soirée ensemble, ou un après-midi chez lui sans se soulager mutuellement.
Plusieurs mois après, je fis une petite soirée chez mes parents et vu qu'une petite dizaine de personnes restaient dormir, j'invitais Stéphane à dormir avec moi dans le lit de mes parents et nous avons commencé notre affaire. Je l'ai sucé, il m'a sucé et comme j'en avais très envie et que j'avais mes doigts depuis 10 minutes dans mon cul, je vins m'asseoir sur sa bite bien bandée. Son gland entra pratiquement entièrement en moi mais il prit sa queue et l'enleva en me disant qu'il ne voulait pas aller plus loin que ce que l'on faisait déjà. J'avais des fourmillements dans l'anus tellement j'y avais cru et tellement j'attendais cela depuis longtemps. Je le suppliai mais rien n'y fit et je dus me contenter de le faire gicler dans ma bouche avec quatre doigts dans le cul comme seule friandise.
Le weekend suivant, nous sommes partis en camping et sous la tente, j'expérimentais le suçage de téton et sur lui l'effet fut incroyable. Il n'arrêtait pas de dire: "Putain, oh putain!" et il fut obligé de me rouler notre première pelle pour ne pas hurler. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas réessayé de m'empaler sur lui alors que je suis sûr qu'il aurait accepté. J'ai juste voulu son sperme sur mon visgae et le mien sur son torse.
Je suis maintenant avec une fille depuis cinq ans et lui a une copine aussi. La dernière fois que l'on s'est retrouvés seuls pour mater un film porno, c'etait il y a deux ans environ et je l'ai sucé mais il ne voulait plus aller plus loin, même pas jouir sur moi.
S'il lit cette histoire, je l'ai sucé dans ma chambre, dans sa chambre, en camping, dans toutes les pièces de ma maison, dans pratiquement toutes les pièces chez lui, chez pratiquement tous nos potes. S'il veut essayer un nouveau lieu, qu'il me le dise et j'arrive.
Et si quelqu'un veut me faire ma première sodo, je suis "ouvert"...

6Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg

 
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Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 16:15

Les-jumeaux1.jpg Romain et Cédric sont deux adorables jumeaux bruns de 19 ans. Ils ont à la fois le côté viril des petits mâles sauvages et le côté fragile des ados. Depuis un mois, Romain - qui est ouvertement gay - a un petit ami: Régis. Ce soir-là, les deux frères terminent une partie d’échec dans la chambre de Cédric.

— Tu ne t’es jamais demandé la sensation que ça faisait? demanda Romain à son frère.

— Quoi?

— De «sauter» un mec!

— Arrête avec tes histoires! Que tu sois pédé ça m’est complètement indifférent mais fous-moi la paix avec tes histoires de culs...

— Tu ne t’en fous pas que je sois gay!

— Si.

— Menteur!

— Pourquoi menteur?

— Parce que d’abord tu dis pédé et qu’ensuite ça t’emmerde royalement que j’en sois un!

— Ça m’a emmerdé, c’est vrai... Mais je m’y suis fait, Rom’! T’es pas le seul à l’école...

— T’as vraiment jamais eu envie?

— Arrête et joue!

— On ne peut vraiment parler de rien avec toi, frangin!

— Bon, tu veux que je parle de la baise entre mecs avec toi... C’est ça? Alors on y va. J’en parle. Non, je n’ai jamais eu envie d’enfiler un mec... Voilà!

— Même pas moi?

Les-jumeaux1--2-.jpg Cédric resta bouche bée. Le silence aspira tout. Cédric n’osait pas regarder Romain. Sa réponse ne venait pas mais le silence pesant en étant une.

— J’en étais certain! Tu en as envie...

— T’es vraiment lourd, Rom’!

— Ose jurer que tu n’as jamais pensé à ça! Ose!

— Nous sommes jumeaux!

— Ce n’est pas une raison!

— Si. S’en est une excellente! J’ai lu ça. Plus de 75% des jumeaux ont eu envie de relations sexuelles avec leur double! 30% l’ont fait! Ça ne fait pas de moi...

— Un pédé! Non, je sais! Je n’essaie nullement de prouver que tu en es un... À entendre les filles se pâmer sous tes coups de reins...

— Tu as écouté?

— J’allais me gêner. Tu n’as jamais écouté, toi, lorsque je ramenais un mec dans ma chambre?

— Je n’ai pas écouté... J’ai entendu! Nuance!

Il passa la langue sur ses lèvres.

— Arrête de jouer à l’allumeur! Va tout de suite au fait, Romain.

— As-tu envie de me baiser?

— Toi, à première vue, tu es intéressé. Tu aimerais peut-être savoir pourquoi les filles crient sous mes coups de butoir.

— Tu marques un point... mais c’était MA question... et j’attends TA réponse...

— Tu m’offrirais ton...

Les-jumeaux1--5-.jpg — Mon cul, oui! Ça fait très longtemps que j’y pense... Je n’ai qu’un regret, c’est que ce ne soit pas à toi que j’ai donné ma virginité!

— J’aurais dû aller vite!

— Je ne l’ai pas perdue si jeune.

— Je crois rêver!

— Non, tu ne rêves pas! Je suis sûr que tu bandes, là! Tu triques à l’idée de «sauter» ton petit pédé de frère.

Romain se pencha et tâta l’entrejambe de Cédric qui eut un geste de recul.

— Woaw!

— Content?

— Hyper heureux! Et fier de te mettre dans cet état... Elle est toute dure, brother!

— T’en as envie. Allez! Fous-toi à poil que je te fasse ton affaire!

Cédric ceintura Romain mais celui-ci se dégagea.

— Tu sais ce que tu veux?

— Pas touche!

— Non, tu ne sais pas ce que tu veux!

— Il y a une condition...

— Quoi?

— Il y a une condition.

— C’est quoi ce plan à la «mords-moi l’nœud»?

— Tu n’imagines pas à quel point ça l’est...

— ...?

— À la mords-moi l’nœud!

Cédric soupira.

— Si tu veux me baiser, tu dois d’abord baiser mon mec!

— Tu es complètement taré! Tu divagues, mon vieux. Tu m’embarques dans tes fantasmes parce que tu crèves de sentir ma queue au fond de ton cul... et puis maintenant, tu me proposes une partouze de pédales!

— Du tout! Tu encules Régis et puis... tu m’encules. Tu auras bien assez de force pour nous deux, non?

— Tu veux dire que tu es d'accord pour que je saute ton mec? Et puis toi tout de suite après?

— On verra si tu as encore de la force pour moi! Si le petit salopard ne t’a pas fait jouir avant!

Les-jumeaux1--4-.jpg La discussion tourna court et Cédric s’en alla. Il passa une fort mauvaise journée car tout ça l’avait rendu nerveux. Lorsqu’il rentra, le soir, il frappa à la porte de la chambre de son frère. Leurs parents étaient partis, comme très souvent, pour un mini-trip en Grande-Bretagne.

— Entrez!

Romain était à moitié nu, sur son lit. Régis était dans la même tenue devant l’ordinateur.

— Tu veux quelque chose? demanda Romain victorieux.

— Je suis d’accord!

— D’accord pour?

— Pour vous baiser l’un et l’autre!

Le visage des deux gays s’éclaira.

— Vrai?

— Oui.

— Régis en rêvait tout autant que moi!

Celui-ci enleva son short et s’installa à quatre pattes sur le lit.

— C’est ce qu’on appelle démarrer au quart de tour!

— Il sait ce qu’il veut, Cédric!

Cédric n’avait jamais vu Régis à poil. C’était un fort beau garçon à la musculature fine. Sa raie duveteuse était toute rosée.

— Vas-y, frangin! Nique ma salope...

Cédric n’en revenait pas d’entendre son frère parler si crûment. Mais sa queue se dressait à la vue de ce tableau réjouissant et il laissa Romain le déshabiller.

— Il n’attend que ça! dit Romain. Donne-lui ce qu’il veut...

Romain lui tendit un préservatif et du gel à base d’eau. Il s’en aspergea la bite et plaça son gland bien lubrifié à l'entrée du trou brunâtre. Il écarta les fesses et de son membre perfora l’anneau serré. L’enculé, très chaud, se cambra progressivement, de sorte que la pine le pénètre sans même que l’enculeur n’aie à bouger. Grâce à un léger mouvement, il aspira littéralement le bout de la bite.

Les-jumeaux1--7-.jpg — Oh la salope! s'exclama Romain à l'intention de son mec, elle sait bien y faire! Ton gland est déjà entré tout à l'intérieur!

— Mmmmmmmm! Qu'il est gros! Il me remplit rien qu'avec son gland!

— C’est si serré! C’est délicieux... ajouta Cédric.

— Ne va pas trop vite, mon frère, tu vois bien à quel point il est étroit...

— Laisse-le me défoncer, chéri! geint Régis trop en chaleur.

— Le plus gros est passé! rassura Cédric, maintenant ça va aller tout seul!

Il prit alors l'initiative et empoigna son partenaire par les hanches pour le pénétrer d’abord d’un coup pour aller le plus loin possible - ce qui lui arracha un cri - puis avec lenteur.

— Ouaahhh, c'est si booon...

— Ça n'a rien à voir avec une bonne femme!

— Je te le répète depuis des années...

— C’est divin! Si il y a d’autres trucs que je dois connaître, Romain, ne me laisse pas mourir idiot?

Les-jumeaux1--1-.jpg Romain, qui se masturbait sans retenue, tout en flattant les bourses de son frère, ne se fit pas prier pour s’installer entre ses cuisses et lui bouffer la raie.

— Aaaaaaaaah! Ouiiiiiiiiiiii... Allez... Ouvre-moi les fesses! Joue avec ta langue. Jamais une nana ne m’a fait ce genre de truc...

— Et, crois-moi, aucune ne te le proposera!

Cédric s’assit dans le fauteuil de la chambre et proposa une autre position.

— Romain, tu vas tenir ma queue bien droite, pour que Régis vienne s'asseoir sur elle. Comme cela, il pourra s'empaler au rythme qu’il désire.

— C'est génial, comme ça, je vois beaucoup mieux ton énorme bite disparaître entre les fesses de mon mec.

Régis grimaça en accueillant la «bête».

— Tu as mal?

— Un peu... mais ça en vaut vraiment la peine. Tu as une bite extra, Cédric. Même forme que celle de Romain mais plus grosse. Comment est-ce possible... Vous êtes jumeaux?

— Mauvaises répartitions à la naissance. Moi, j’ai eu un plus gros cerveau! ironisa Romain.

— Connard!

— Passe ta main dans ma raie, Romain, et caresse-moi la chatte, ça me fera du bien, je crois... Elle prend toute la place dans mon fourreau.

— Vous parler comme des gonzesses! Vous n’avez pas de «chatte», bande d’enculés! gémit Cédric.

— Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! hurla Régis sous le dernier assaut.

Les-jumeaux1--8-.jpg Les lamentations de Régis se changèrent vite en gémissements de plaisir, puis en cris de bonheur, quand la queue de Cédric arriva au fond de son boyau. La tige bien dure commença à aller et venir dans la raie. Romain s’occupa de l’entrejambe de son frère avec la langue. Il semblait apprécier de plus en plus.

— Oh, oui, caresse-moi les couilles! Oh oui, ta langue, maintenant!!!

— Eh ne m'oublie pas! hurla Régis.

— Ta gueule! Ne crie pas comme ça...

— Heureusement que les parents sont absents...

— Oui, mais y’a aussi les voisins.

— On va leur faire avoir un arrêt cardiaque... Ils ont plus de 70 berges!

— Ouuuuiii, comme ça, mets-moi un doigt...

La bite de Cédric s’éjecta du trou de Régis.

— Donne-la moi, maintenant, je veux la sucer! dit Romain.

— Oh non, mon chou, remets-la moi dans le cul encore un moment. Elle est si grosse et si bonne! Tu as dit que ce n’était que pour une fois... Je veux bien en profiter!

— Tu vas bien en profiter... T’inquiète, petit trou du cul!

— Oh ouiiii... Cédric, parle-moi comme ça... Dis-moi des cochonneries!

Les-jumeaux1--6-.jpg Cédric lui attrapa les cheveux et tira sa tête vers l’arrière.

— Tu aimes qu’on soit sauvage avec toi?

— Il adore se faire rudoyer, mon frère! Moi, je suis déjà obsédé mais lui... c’est inouï! Une pute!

— On dirait, oui. Eh bien, ma petite pute va attendre que son tour revienne.

Et il largua le mec de son frère sur le lit.

— Viens ici, Rom’! Tu vas enlever le préso et après tu me pourras me sucer la queue. Tu vas me pomper jusqu’au bout car je n’en peux plus. Prends tout mon jus dans ta bouche, petite salope!

— Ne jouis pas tout de suite! gémit Régis.

— T’inquiète, salope! J’en aurais assez pour vous inonder tous les deux. Et puis, avec ce que je viens de découvrir, il est plus que probable que je revienne voir du côté des tantouzes...

Romain et Régis échangèrent un sourire.

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Mardi 7 août 2 07 /08 /Août 13:32

anal-gay-0011-001.jpg J’habitais dans un quartier excentré mêlant immeubles et pavillons et nous ne savions pas trop quoi faire, avec les garçons de mon âge, pour passer le temps. J’appartenais à un petit groupe de trois amis et notre préoccupation était le sexe. Comme les filles faciles étaient rares et qu’il n’était pas question de faire ça entre nous, tout était prétexte à se retrouver dans des situations excitantes qui nous soulageaient au moins au niveau des fantasmes: mater à la piscine, aller voir la caissière de la supérette qui avait de gros seins, feuilleter les pornos chez le buraliste ou en voir dans notre petit local en sous-sol situé près de la chaufferie.

Sur ce dernier point, on s’installait dans la pénombre – de toute façon la pièce était mal éclairée – et ceux que cela ne gênaient pas se branlaient sur place; les autres allaient dans les couloirs à côté qui menaient aux box privatifs. On n’osait pas trop se regarder mais c’était sans doute plus le fait de se branler ensemble qui nous excitait plutôt que la cassette, la seule qu’on avait et qu’on voyait sans cesse. J’avais plus ou moins essayé de voir les bites de mes potes au moment où ils jutaient mais ça n’allait pas plus loin.

Un jour Kevin, qui avait 16 ans comme moi, nous raconta qu’il s’était arrêté aux toilettes publiques d’à côté et qu’un mec lui avait proposé de le sucer. Notre première réaction fut de jouer les dégoûtés puis Seb, l’aîné qui avait 18 ans et était un peu notre leader ajouta: "Ah si ç’avait été une fille, mais après tout se faire sucer par un mec qui en veut, ça fait pas de nous des demandeurs..." Alors on décida de renvoyer Kevin, il était plutôt mignon, jouer les appâts et si ça marchait, on attirerait le mec dans notre pièce.

anal-gay-0011-004.jpg Quand il revint, il était seul mais ses yeux brillaient. On était tous autour de lui à lui demander ce qui s’était passé. "Et bien, il n’y avait personne et puis un type est arrivé, il s’est mis à côté de moi mais il ne pissait pas, j’ai senti sa main sur ma jambe et il m’a proposé de me sucer, j’ai dit oui mais il m’a emmené dans la cabine des chiottes. Vous auriez vu comme il m’a pompé. Ça fait six mois que je n’avais pas baisé, je lui ai rempli sa gueule de salope. Après il m’a demandé si je venais souvent et je lui ai dit que j’avais des potes intéressés. Il m’a demandé où, j’ai pas voulu tout lui dire alors il m’a répondu que si ça ne craignait pas, ce serait OK quand on se reverrait. Je suis prêt à y retourner." Seb l’a arrêté et a dit: "Non c’est moi qui irai cette fois et j’emmènerai directement le mec ici."

Comme ces toilettes publiques n’étaient pas très fréquentées, même par les homos, Seb dut s’y reprendre à trois fois. À chaque fois, on avait préparé le local avec un éclairage minimum. Il devait nous appeler avec son portable en route. C’est ce qui arriva ce jour là. J’étais avec Kevin et Karim, on attendait avec impatience. Karim nous dit qu’il avait la gaule, il mit sa main sur son paquet, on voyait à travers la pénombre qu’il devait avoir une grosse bite. Il glissa la main sous son survêt et je compris qu’il commençait à se branler en attendant. Enfin Seb arriva. On avait prévu tout un rituel, comme on avait peur pour notre réputation, on avait décidé de proposer au mec qui viendrait de mettre une cagoule avec juste une ouverture pour la bouche. Seb le prépara dans un sas à côté, seul lui savait comment il était physiquement.

anal-gay-0011-006.jpg Le type arriva, avec un tee-shirt et un boxer moulant où on voyait une belle bosse. La lumière était éteinte, seul le jour filtrait par des aérations. À tenter de voir son corps, il devait avoir la quarantaine. On n’osait plus rien faire, Karim qui n’avait pas cessé de se branler, se décida et fut le premier, il prit le type par la tête et lui enfourna sa queue dans la bouche. Il se mit à gémir, ce qui m’excitait. Ce fut ensuite au tour de Seb puis de Kevin. Enfin ce fut à moi. Dans ma tête tout était confus, je me posais souvent des questions sur ce qui me faisait bander, j’avais remarqué que sur notre film porno j’aimais bien regarder les mecs et avoir vu mes copains se faire sucer m’avait beaucoup plu. Contrairement à eux, je n’avais jamais couché avec une fille.

Le type me happa la bite et je me sentis entièrement avalé. Sa langue tournait autour de mon gland me procurant des sensations énormes, il allait de plus en plus vite, je ne mis que quelques secondes à jouir, quel pied! Il me garda en bouche même après avoir débandé. Je vis que Seb voulait recommencer, mais il prit une décision: il coucha notre homme, le ventre sur une table et vint se positionner derrière lui. Un rayon de lumière me permit de voir sa grosse queue qui rentra sans douceur dans le cul du type qui grogna. Il se mit à le pistonner. Karim s’était remis à se branler face au visage encagoulé et balança sa purée dessus. Rapidement Seb jouit et ce fut à nouveau mon tour. Je ne savais pas trop comment m’y prendre.

anal-gay-0011-007.jpg Kevin s’approcha et doigta l’homme, me prenant la bite au passage pour la guider. Je m’introduis dans le passage qu’avait emprunté Seb, c’était humide et chaud. Je me couchais sur le dos du mec et étais en train de passer mes bras sous son ventre quand j’ai heurté sa bite, dure comme de la pierre. Pris par l’inspiration du moment, je me mis à le branler tout en faisant des va-et-vient avec ma queue dans son cul. Je jouis en même temps que lui, j’en avais plein la main. Par curiosité, j’en portais quelques gouttes à ma bouche. Pendant ce temps, il me nettoyait ma queue qui l’avait inondé et en se relevant m’embrassa sur la bouche discrètement en me chuchotant merci à l’oreille.

Karim prit ma place dans son cul alors que Kevin se faisait à nouveau sucer quand je sentis une main me caresser. C’était Seb. Il m’entraîna dans un recoin totalement sombre pendant que nos deux potes s’activaient et me glissa la langue dans l’oreille en me disant: "Pas un mot de ceci." J’étais trop stupéfait pour cela, il s’attaqua à mes têtons puis me prit la bite en bouche à son tour. Il était moins doué que notre invité mais c’était bon quand même. Il s’arrêta pour me mettre sa grosse queue dans ma main et me fit le branler pendant qu’il me faisait la même chose. Nous avons joui ensemble en nous embrassant pendant que Karim et Kevin se vidaient eux aussi.

Seb reconduisit alors le type dans le sas pour qu’il se rhabille et partit avec lui. Je m’apprêtai à m’en aller avec mes deux potes quand je vis une petite carte dans son étui sur le sol. Elle devait appartenir à celui qui nous avait bien soulagé. J’ai eu envie de savoir comment il s’appelait, et en plus il y avait une photo. J’eus le choc de ma vie, c’était mon père!
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Vendredi 3 août 5 03 /08 /Août 09:49

01.jpg J’ai toujours été un enfant fragile, maladif. Petit, j'avais l'habitude de dormir avec maman quand ça n’allait pas trop. Un jour, je devais avoir treize ans, mon père décida que ce n'était plus très sain et il m'interdit purement et simplement l'accès au lit des parents. Dans les mois qui suivirent cette interdiction, je connus plus souvent l’angoisse que la maladie. Je pris donc l’habitude de demander asile dans le lit de mon grand frère. Il n'y avait aucun sous entendu sexuel dans ma démarche; juste une demande de soutien...

 

L’été de mes seize ans, mon petit chien fut écrasé par un chauffard juste devant notre maison. J’étais effondré. Mon frère – qui avait dix-neuf ans – essaya de me consoler. Alors qu’il ne l’avait plus fait depuis quatre ans, il m’accueillit dans son lit. Je n’arrivais pas à me calmer, secoué par de gros sanglots. Vincent me prit tendrement dans ses bras, et, voyant que je me calmais, ne tarda pas à me laisser m'endormir contre lui. Je ne dormais pas profondément mais je me sentais si bien que je ne bougeais pas. Je sentais le souffle régulier de mon frère dans mon cou et, surtout, son corps chaud pressant le mien. De le sentir abandonné ainsi tout contre moi provoqua une douce chaleur dans mon bas-ventre très vite suivi par une belle érection. Dans un premier temps, je me sentis assez mal; j'avais honte de mon attitude.

Vincent finit par s’endormir.

Ma main glissa sur son ventre et en-dessous. Je ne saurais vous dire le choc que j'ai ressenti au contact de son ventre plat et ferme! Ce fut pour moi la plus formidable expérience érotique de toute ma vie, la réalisation d’un fantasme obsédant... Malgré tout ce qui a pu arriver par la suite, je garderai toujours un souvenir inoubliable de ce premier émoi charnel. Car c’était réellement ma première fois! Bien sûr, j’avais embrassé plusieurs filles, peloté dans les boums les plus audacieuses mais tout ça n’avait pas été plus loin. Là, c’était autre chose! D’abord parce que j’avais compris qu’entre les filles et les garçons, mon cœur balançait plus du côté des quéquettes. Ensuite parce que j’avais là, sous la main, un corps souple et brûlant, n’attendant que mes caresses... J’ai dû commencer mes travaux d’approche du bout des doigts. Très vite, je me suis enhardi.

J'étais manifestement trop excité par la suite car, alors que je pétrissais à deux mains son cul ferme et velu, il se réveilla brutalement.

— Eh, mais... David! Qu’est-ce que tu fous?

— Je...

Je m'écartais aussitôt et disparaissais de l'autre côte du lit. Je feignais de dormir mais il alluma la lumière et me secoua violemment. Je jouais à celui qui est à moitié endormi. Je n’étais sûrement pas très convainquant!

— David, tu peux m'expliquer ce que tu faisais?

— Mais rien, Vince! je dormais.

— Je ne crois pas non...

— Laisse-moi dormir.

— D’accord, mais on en parlera demain... mais va dans ton lit!

— Pourquoi?

Je savais que je méritais ça. J'étais encore surpris par la rapidité avec laquelle les événements s'étaient enchaînés et sous le choc de mon audace. Je bandais toujours comme un âne et j’avais la tête envahie par des désirs inavouables.

C’est d’humeur maussade que j’ai regagné mon lit. Je me suis couché dans un état d’énervement pas possible. Ma tête fourmillait. Je n’avais plus qu'une idée en tête: baiser avec mon frère, le beau Vincent... Je prenais conscience que j'avais été trop loin mais ce qui était fait... Je me suis branlé en fermant les yeux. Enfin rassasié, j’ai réussi à m’endormir.

Il a fallu attendre 17h pour me retrouver seul avec mon frère. J’étais installé devant mon PC lorsqu’il frappa à la porte de ma chambre. Il poussa la tête et demanda:

— Je peux?

— Oui.

Un silence gêné s'installa entre nous. Il se jeta à l'eau:

— David, tu vas m'expliquer ce qui t'a pris cette nuit! Je suis assez surpris par ton attitude...

— Je... je le suis aussi!

— Ah bon? C’est ça ta réponse!

— Écoute... je comprends tout à fait qu'à ton âge on éprouve des... enfin... tu vois ce que je veux dire... mais je suis ton frère!

— Je ne vois pas où tu veux en venir.

— C’est ça... Joue les innocents! Tu es doué pour ça!

— ...

— Tu as déjà fait «des choses» avec une de tes copines de classe...

— ...

— Tu comprends ce que je te dis?

— Je ne suis pas débile!

— Il y a des moments où on pourrait en douter!

— Non, je n’ai jamais «couché». C’est ça que tu voulais savoir?

— J’ai besoin de savoir certaines choses, frangin... Il m’est impossible de continuer à vivre comme si rien n'était arrivé.

— Moi, je peux!

Cette première conversation s’est arrêtée là et Vincent a quitté ma chambre.

 

02.jpg Un soir, Vincent a fait toute une scène parce que la clef de la porte de sa chambre avait disparu. Il avait pris l’habitude de s’enfermer la nuit et papa avait dû trouver ça contraire à ses principes. J’ai regardé Vincent dans le blanc des yeux et je lui ai dit:

— Pourquoi veux-tu t’enfermer? Tu as peur de quelque chose... ou quelqu’un?

— Cause toujours, tu m’intéresses...

— Ne t’inquiète pas, gamin, tu peux dormir tranquille...

Il ne l’a pas trop montré mais je suis certain qu’il a été vexé.

— Tu es malade ou quoi!

— Fou peut-être... peut-être fou d’amour...

— Bon, je vais me coucher...

Durant les jours qui ont suivi, mon frère est resté sur la défensive.

Nos rapports étaient forcément devenus différents. Je sentais que quelque chose de trouble venait de se nouer entre Vincent et moi mais je ne pouvais pas expliquer ce lien... J’ai compris bien plus tard qu’il se sentait coupable et qu’il était très malheureux. Très malheureux de m’avoir détourné du droit chemin! Sans le savoir, je venais de secouer la vraie nature sexuelle de mon frère et mon comportement durant les jours qui suivirent ne fit qu'accentuer l'issue inéluctable de notre relation... Comment aurais-je pu savoir que mes parents avaient deux fils complètement pédés?

Vincent luttait depuis des années contre une homosexualité plus que latente. Il se fabriquait – comme tant d’autres! – une image de beau gosse hétéro et macho... et il y parvenait tout à fait. Il était sorti avec des tas de filles qui ne faisaient jamais courir aucune rumeur équivoque à son propos. Il devait certainement s’en sortir avec brio.

Les jours qui suivirent, je fis exactement comme si rien ne s'était passé. De son côté, plus le temps passait et plus mon frère adoptait un étrange comportement avec moi. Lui toujours si discret et réservé n'hésitait pas, dès que nos parents étaient absents, à se présenter devant moi en boxer ou en bas de pyjama. Le printemps montra le bout de son nez et les premiers beaux jours arrivèrent. Je passais le plus clair de mon temps allongé dans un hamac au fond du jardin. J'avais constamment la trique et bien du mal à le dissimuler.

03.jpg Et puis, le jour J arriva. Nos parents étaient partis en Bretagne pour cinq jours et nous étions seuls à la maison. J’étais en maillot dans mon hamac et Vincent faisait des paniers avec un de ses potes près du garage. Je bandais ferme. L'air de rien, mon frère jetait souvent un regard en coin pour découvrir l'effet qu'il produisait sur moi. Entre nous, c’était vraiment un jeu de la séduction... Il continuait ses mouvements lascifs à quelques mètres de moi et faisait tout ce qu’il pouvait pour me maintenir dans cet état d’excitation. Je décidais donc de tenter le tout pour le tout le soir même. Vers 21h30, comme la nuit tombait, son pote rentra chez lui et nous nous sommes retrouvés seuls tous les deux. Il faisait plus frais et il avait enfilé un polo hyper sexy qui lui arrivait au-dessus du nombril et un boxer tout aussi moulant. Nous avons dîné légèrement en nous enfilant deux bouteilles de rosé. Il était si beau, mon frère. Ses grands yeux noirs brillaient dans la pénombre et, avec quelques verres de vin dans le nez, il se montrait plus volubile. Un peu pompette, il m'a souhaité une bonne nuit puis est monté se coucher en titubant.

— Tu n’as pas besoin d’aide, Vince? ai-je lancé.

— Si j’ai besoin d’aide, je t’appelle.

— D’acc!

J'ai accompagné des yeux son petit cul rond qui ondulait devant moi. C’était divin! Il a dû sentir le poids de mon désir car il s'est arrêté, s'est retourné et m'a jeté un regard brûlant avant de disparaître dans les escaliers.

J’aurais pu tomber là d’un coup, foudroyé par son regard de braise.

05.jpg J’ai hésité. Finalement, je me suis couché dans mon lit. La nuit était bien entamée quand je me suis mis à hurler. Vincent s’est réveillé et s'est précipité dans ma chambre pour voir ce qui se passait.

— Hé David! Frangin, qu’est-ce qui se passe?

Il a allumé la lumière et j'ai eu un choc: il était nu comme un ver... superbe...

J’étais tout tremblant. Ce n’était pas de la comédie et il l’a compris de suite. Il m'a pris dans ses bras pour me réconforter et le contact de sa peau chaude m'a foudroyé.

— Tout va bien, mon chéri, je suis là!

— Vincent, serre-moi! Je ne me sens pas bien du tout... Reste avec moi!

— Calme-toi, ça va passer.

— S’il te plaît! Reste avec moi... rien qu'une fois... J’ai des angoisses. Je ne suis vraiment pas bien...

Il me serrait dans ses bras et les effluves que son corps dégageaient étaient très excitantes. Je respirais son parfum naturel de mec.

— Bon, fais-moi une petite place dans ton lit! Grand bébé, va!

Fou de joie, j'essayais de calmer un peu la trique qui me tordait le ventre. Il est allé éteindre dans sa chambre.

— Allez, on se couche et on se dépêche de dormir. Demain, j’ai cours à huit heures!

— Tu rigoles... Demain, c’est samedi!

Il s’était glissé dans mon lit et, immobile, n'osait pas faire un geste. J'entendais sa respiration régulière à quelques centimètres de moi.

— C’est que tu as raison en plus! Avec l’absence des parents et ces quelques belles journées à glander, je n’ai plus mes repères!

— Si tu crois que j’ai encore les miens de repères...

06.jpg En me retournant, j'ai effleuré son corps. Ma main est tombée sur son ventre. Quelle ne fut pas ma stupeur de découvrir qu’il bandait comme moi.

— Retire ta main! Vite! Je t’en prie...

— Pourquoi?

Je n’avais pas envie d’écouter sa réponse et plus envie de parler. Je voulais agir. N'en pouvant plus, j’ai commencé à le caresser, d'abord timidement puis avec des gestes plus appuyés. J’ai massé son torse de manière circulaire en élargissant le cercle à chaque passage. Je caressais maintenant son ventre et il se laissait faire.

— Ça devait arriver, Vincent!

— C’est de ma faute!

— Sûrement, oui! Tu es trop beau, trop excitant!

Je me suis glissé contre lui et j’ai glissé ma main entre ses cuisses. C’était encore plus dur! J’ai carrément basculé sur lui et je me suis retrouvé à cheval sur son corps musclé.

— Je peux t’assurer que je le veux vraiment, Vince! J’en rêvais depuis des mois...

— Et moi donc!!!

Je perdis toute retenue et, tout en continuant à le caresser, j’ai attrapé sa longue tige entre mes doigts pour la branler. C’était une sensation géniale! Je me suis penché au-dessus de son visage. J’ai vrillé mes yeux dans les siens et je l’ai embrassé.

— J’ai du mal à te reconnaître, David!

— Tu n’as pas encore tout vu...

Excité comme une puce, je me frottais sans retenue contre sa cuisse. Il ne me fallut que quelques secondes pour éjaculer abondamment.

— Déjà!?

— Je serai très vite prêt à recommencer.

08.jpg Vincent m’a soulevé comme un morceau de bois et m’a couché sur le dos. Il a relevé mes jambes et m’a bouffé la rosette. Sa préparation fut de courte durée car il n’en pouvait plus. Il a enfilé une capote et m’a enculé de face. J’étais ravi de pouvoir l’admirer à l’ouvrage. Mon frère me baisait et il faisait ça bien. Il donnait maintenant de violents coups de reins et faisait coulisser sa bite à l'intérieur de ma gaine brûlante. Je bandais à nouveau comme un âne et il me sourit en constatant cet état de fait. Il prit alors ma queue entre ses doigts et commença à me branler tout en me limant en cadence.

— Je ne veux pas jouir trop vite! gémit-il en sortant de mon cul.

Il s’agita au-dessus de moi de sorte que son visage disparut entre mes cuisses. Je sentis ses lèvres chaudes qui se refermaient autour de ma queue. Sa langue tournoyait autour de mon gland avec une agilité étourdissante. Une de ses mains me titilla le bout des seins pendant que sa bouche avalait entièrement ma queue en la pompant bruyamment. Vincent me garda dans sa bouche plus de trente minutes. J’ai éjaculé une nouvelle fois. J’étais épuisé et heureux. Je venais de me faire sucer à fond par mon frangin adoré! Le Dieu de la Baise!

09.jpg — Tu aimes?

— J’adore, Vince! Tu fais ça très bien. T’es gay depuis longtemps?

— Depuis toujours! Comme toi, j’imagine!

— Comme moi, oui!

— Ben, nos pauvres parents ont raté le coche avec nous. Ce n’est pas demain qu’ils vont avoir des petits-enfants!

La tête de mon frère replongea entre mes cuisses ouvertes. Il jouait maintenant avec mes couilles, les soupesait, les malaxait tout en essayant de redonner vigueur à mon membre qui avait déjà joui deux fois... Il me suçait très lentement tout en me regardant dans les yeux et la vision de sa bouche charnue distendue par ma grosse bite m’excitait terriblement.




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Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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Mercredi 1 août 3 01 /08 /Août 19:23

Couple---Exhiboys.jpg Salut les gars! Je vais vous conter l'aventure la plus inimaginable qui m'est arrivée avec mon ami Tommy lors d'une ballade au centre-ville. C'était à la fin de l'année scolaire, au début de l'été...

Comme on n’avait pas d’école l'après-midi, avec le beau temps, Tommy et moi, nous avons décidé d’aller se promener en ville. Juste avant l’heure du dîner, on a eu notre cours d’éduc, alors on était en t-shirt, shorts et espadrilles. On a foutu notre linge dans notre sac à dos pis on a pris le métro jusqu’à Berri. C’était bourré de monde sur la rue, on en a profité pour se promener un peu.

Faut que je vous parle de Tommy... C’est un gars qui est dans presque toutes mes classes, un beau p’tit homme de 16 ans, presque 17, aux cheveux châtains clairs, un petit baby-face tout rond et des yeux d’un vert... de toute beauté. Il ne sait pas que je suis gai, ni que je le trouve pas mal de mon goût, mais bon...

Alors, on se promène sur la Ste-Catherine pis je décide, faisant semblant de rien, de prendre vers l’est... Le Village n’est pas très loin, à moins de cinq minutes à pieds. Le jour, y’a tout de sorte de monde là, alors pas de danger que Tommy me demande c’qu’on faisait rendu dans le coin! J’ai bien remarqué que Tommy s’était apperçu qu’une couple de gars se promenaient main dans la main, mais il n’a rien dit...

On a continué comme ça jusqu’au coin de la rue Champlain... Avec la chaleur qu’il faisait, on en a profité pour se prendre un sundae à la crémerie qu’il y a à côté de La Track pis on s’est installé à une table sur le bord de la terrasse. Tommy et moi, on jasait de tout et de rien, mais on revenait souvent sur le sujet des examens de fin d’année qui approchent à grands pas. Tout en jasant, j’en profitais moi pour regarder partout autour de moi, surtout que ma mère ne me laisse pas sortir le soir après 23h, alors je n’avais jamais eu l’occasion de voir toute l’action du Village de soir, aussi bien en profiter pour une fois que j’y étais, même si c’est le plein jour!

Un moment donné, je vois une auto grise s’arrêter dans la rue juste à côté, pis le chauffeur descend la vitre du côté passager et fait signe d’approcher. Je regarde en arrière de moi pour voir si c’était pas à quelqu’un d’autre qu’il s’adressait, mais non, ça semblait bien être moi. J’ai dit à Tommy de m’attendre quelques instants, que le gars dans l’auto devait être perdu et cherchait sa direction. À l’intérieur de moi, j’avais une autre petite idée de ce que ça pouvait être mais j’en n’étais pas certain...

Arrivé à l’auto, je me penche et je salue le gars. Il est sûrement dans la vingtaine avancée, peut-être tout Couple---Exhiboys--1-.jpg juste 30 ans. Il est quand même beau bonhomme, pas gros du tout, ben clean. Il me demande en anglais si je suis libre pour la prochaine heure et je lui réponds que je suis avec un copain. Il se tasse pour regarder Tommy qui nous regardait l’air un peu perdu. Il sort son portefeuille et sort deux billets de 100$ US et les mets sur le siège en me disant qu’ils sont à nous s’il peut nous regarder en train de se faire un 69. Un peu pris par surprise malgré tout, je ris en lui disant que Tommy en ben straight et qu’il n’accepterait sûrement pas. À ces mots, il me dit d’aller lui demander en déposant un autre bill de 100$ sur les deux autres... Wow! 300 piastres, US en plus!

J’peux sûrement faire passer ça en douce en montant une histoire à Tommy... Je le trouve tellement trippant que ça pourrait être MA chance! Je dis au gars dans l’auto de m’attendre deux minutes et je repars rejoindre Tommy. Je m’assois en face de lui et en riant, je lui conte ce que le gars vient de dire... Tommy rougit sur le champ et se met à insister sur le 300$ US... 450$ canadiens, c’est pas peu dire... J’lui lance hypocritement que je ne crois pas que je serais capable de le sucer, même pour de l’argent quand tout à coup, Tommy se lève et me regarde droit dans les yeux, et le plus sérieusement du monde, me lance:

— Tu peux garder un secret?

— Ouais, quoi donc?

— Ben j’ai déjà essayé ça avec mon cousin l’année passée, et c’est pas aussi pire qu’on pense... Heille, j’aurais besoin de cet argent, tsé, mon scooter...

C’est vrai, il avait commencé à s’accumuler de l’argent pour s’en acheter un, je n’y avais pas pensé...

— Ferais-tu ça pour moi? Heille, on se connaît quand même bien et le gars nous touchera pas... Moi j’le ferais...

— J’sais même pas comment faire! Que j’ai ajouté hypocritement.

— J’vais te montrer! Je l’ai juste fait une fois mais c’est pas ben sorcier... Allez, viens, s’il te plaît!!!

— Ok, mais t’en parle à persone, hein?

— T’es malade, j’veux pas passer pour un fif à l’école!

Wow! J’m’en foutais-tu du cash rien qu’un peu, moi, c’est le gars que je voulais! J’me lève et fais semblant d’être indécis alors que Tommy lui s’approche déjà de l’auto. Il me fait signe de monter à l’arrière et il prend place à l’avant à côté du «client». Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse avoir autant de guts le Tommy!!!

L’auto démarre aussitôt et Tommy discute avec le client, tenant déjà les billets verts dans sa main. J’entends au passage qu’il pose sa condition au fait qu’il ne sera que spectateur, je ne suis pas vraiment la conversation, je tente plutôt de me convaincre que ce n’est pas un rêve... L’auto s’est rendue dans un motel dans l’est de la ville, un petit motel pas très chic, mais tout de même propre. Je voyais un métro non loin, alors je n’avais pas trop de craintes malgré tout... On sait jamais, on aurait pu tomber sur un fou dangeureux! Le gars nous dit d’attendre dans l’auto en remettant un nouveau billet de 100$ à Tommy.

Quand l’homme fut descendu, Tommy se retourna vers moi et voyant mon regard interrogateur, me dit tout simplement, la voix tremblante:

— J’espère que tu ne m’en voudras pas, j’ai accepté quelque chose de spécial...

— Quoi donc? demandais-je avec un peu d’appréhension.

— Le gars nous donne 100 piastres de plus pour qu’on s’encule...

— Quoi!!!!!!!!!!!

Couple---Exhiboys--2--copie-1.jpg — Hé! Pas peur... C’est toi qui me prendra... À ce prix-là, ben ça vaut la peine d’essayer et j’aurai presque tout le cash pour mon scooter avec ma moitié de l’argent...

Je n’étais plus vraiment là, carrément dans les vapes! Je m’étais toujours demandé de quoi ça avait l’air de se le faire faire ou encore de le faire à quelqu’un, sans vraiment croire que ça m’arriverait si rapidement. Tsé, dans ma tête, ça faisait partie des expériences à tenter, mais sans plus. Mais là, avec Tommy en plus, le garçon de mes fantasmes! Tout me paraissait presque incroyable.

Le gars revint rapidement avec une clé en main. On descendit de la voiture et on l’a suivi jusqu’à la chambre qu’il avait louée. Il nous fit entrer et referma derrière lui. On se tenait au centre de la chambre alors que lui se rendit dans le coin pour s’asseoir sur l’unique chaise que la chambre avait.

— Whenever you’re ready guys! Nous lança-t-il.

C'est pas mêlant, je tremblais comme une pucelle! Moi qui m'imaginais tout plein de scénarios le soir dans mon lit pendant que je jouais à la veuve-poignet, voilà que c'est mon meilleur ami, Tommy, celui-là même qui me faisait voir des étoiles dans mes rêves les plus osés, qui m'entraînait dans cette aventure de débauche complètement folle.

Tommy vint se placer face à moi, donc dos au jeune américain. Il me serra contre lui et me glissa à l'oreille: "Laisse-toi faire, laisse-moi te guider... tu regretteras pas, je te le promets!" Sentant bien que je tremblais de tout mon corps, il me fixa dans les yeux et ajouta doucement: "Je suis désolé... c'était complètement fou de t'entraîner là-dedans... Tu sais, il n'est pas trop tard, je peux m'organiser avec le gars pour tout annuler." Mes idées soudainement s'entrechoquaient... NON!!! Je voulais tellement! Je répondis tout simplement: "Non, non... c'est juste que je suis nerveux, j'ai jamais eu de relations avec qui que ce soit..."

Couple---Exhiboys--3-.jpg Sur ces mots, Tommy me fit une petite bise sur le front, me serra dans ses bras, comme pour me protéger, avant de se déplacer derrière moi. Il colla son corps contre le mien, m'enlaçant de ses longs bras alors que sa bouche se promenait dans mon cou. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et la chair de poule me prit tout à coup. Sa langue venait de me lécher le lobe de mon oreille. C'était si intense... et l'idée que mon meilleur ami hétéro allait me dépuceler m'excitait au plus haut point.

Ses bras se promenaient maintenant sur mon corps alors que son corps à lui se balançait de gauche à droite, son torse soudé au mien et son bassin bien collé contre le mien, à tel point que je sentais maintenant une barre raide contre mes fesses. Tout doucement, sensuellement, il commença à retirer mes vêtements un à un. Quand il tenta de descendre mon short, ma queue raide qui pointait vers le haut empêchait la manoeuvre et il dut glisser ses doigts sous la bande de la taille élastique afin d'en arriver à son but. Touchant ma bite bien bandée, il me glissa un: "Petit cochon!" bien amical à l'oreille qui me fit sourire. J'étais totalement nu maintenant et plus relaxe, je ne me sentais plus aussi gêné d'être là, m'affichant en spectacle à ce touriste.

J'étais dans un autre monde, c'est comme si tout allait au ralenti. Je sentais maintenant le torse nu de Tommy contre mon dos, et quelques instants plus tard, la toison de son pubis chatouillait mes fesses alors que sa queue bandée frottait entre mes deux lobes de chair vierge. Tommy me léchait toujours dans le cou et sa respiration s'était drôlement accélérée - la mienne aussi d'ailleurs! Le corps de mon ami se sépara du mien et ses mains sur mes hanches, il m'attira vers le lit. Il s'assied, me faisant pivoter doucement sur moi-même, pour se retrouver finalement face à face avec mon sexe fou de désir. Il leva les yeux, cherchant dans mon regard un signal consentant; je répliquai tout simplement en lui faisant un clin d'oeil. Ce signal était tout ce qui lui fallait: sa bouche se précipita sur ma bite qu'il avala rapidement sur toute sa longueur. La surprise occasionnée par la sensation de ses lèvres parcourant mon membre me fire lâcher un cri d'extase non feint. La puissance de cette découverte ajoutée à l'excitation générale qui remplissait mon corps me fit raidir le corps tout entier. À peine quelques aller-retours sur ma queue furent suffisant pour que je lui explose en pleine bouche. Déçu de ma contre- performance, je rougis en regardant Tommy qui affichait un large sourire.

Couple---Exhiboys--5--copie-3.jpg Je me retournai pour regarder notre américain qui était toujours sur le fauteuil dans le coin de la chambre. Il était nu aussi maintenant, dévoilant ainsi son corps finement découpé et une bite bandée d'une longueur exceptionnelle: jamais je n'avais vu de sexe si long. Son regard était à la fois amusé par le peu de temps que j'avais mis à jouir dans la bouche de mon copain, mais aussi son regard démontrait l'inquiétude de ne pas avoir droit au spectacle du 69 pour lequel il nous avait payé. Tommy aussi avait remarqué la même chose...

Il se leva du lit et s'approcha de l'américain. Il se pencha sur lui et l'embrassa longuement. Au coin de leur bouche, je pouvais voir de petites traînées de mon sperme qui s'échappaient de leurs bouches. Cette vision m'excita comme pas possible! Tommy rompit le baiser et lui sourit:

— Don't worry sir, he was a virgin... but his youth will bring his excitation back in no time... Show's not over!

Cette parole rassurante de mon ami redonna le plein sourire à notre touriste qui s'en léchait encore les babines couvertes de mon jus crémeux.

Tommy était de retour vers moi. Il s'approcha de mon oreille pour y glisser:

— Fais tout simplement comme je t'ai fait... je vais m'allonger sur le lit pour te faciliter la tâche et avant d'aller jusqu'au bout, je te ferai signe pour qu'on puisse se mettre en 69!

L'évocation de ce scénario fit relever mon sexe d'un seul coup. Tommy le remarqua d'ailleurs et ma réaction le fit sourire. Il s'allongea sur le lit, s'écartant les jambes pour me donner plein accès à son bas-ventre et à sa tige dressée, de longueur semblable à la mienne, dans les 14-15cm, mais beaucoup plus imposante en circonférence. Penché par-dessus lui, je me posais la question à savoir si j'allais pouvoir emboucher tout le morceau!

Couple---Exhiboys--6--copie-1.jpg Timidement, je commençai tout d'abord par lécher le bout de son gland qui pointait hors de son prépuce. Ses mains se placèrent immédiatement sur ma tête pour me guider dans cette première fellation que je lui faisais. La sensation d'avoir une bite en bouche fut au-delà de tout ce que j'avais pu imaginer dans mes rêves. J'ADORAIS! Avec frénésie, je me lançais sur cette verge raide pour lui donner tout mon amour. Mes lèvres entouraient la chair tendue et glissaient de haut en bas, arrachant quelques gémissements de Tommy et le faisant grouiller sous mes caresses buccales. Il ne guidait plus mes mouvements, se laissant tout simplement aller au plaisir que je lui procurais. Des spasmes parcouraient son corps tout entier et se répercutaient dans sa queue. Une petite tape sur mon épaule fut son signe pour que j'arrête de le pomper. Je ne bougeais plus.

Il se déplaça alors et vint se placer sous moi, tête-bêche, prenant mon sexe bien bandé dans sa bouche alors que je reprennais la sienne entre mes lèvres. Ce fut l'apothéose du moment. Une minute à peine après que nous ayons commencé à nous sucer mutuellement, je lui largais une nouvelle salve en pleine bouche. Cette éjaculation le fit se déverser également dans le fond de ma gorge. Sentant ce liquide tout chaud dans ma bouche était sublime. J'en avalai quelques gorgées, mais je pris bien garde d'e conserver assez pour la suite... Je voulais connaître le plaisir qu'il avait fait à notre américain en allant l'embrasser.

Couple---Exhiboys--7--copie-1.jpg Un petit saut dans le lit me permit de me retrouver face à face avec Tommy qui sous moi avait les yeux fermés. J'approchai doucement mes lèvres des siennes et tendrement, ma bouche s'est soudée à la sienne, ma langue tentant d'investir l'intérieur de sa bouche. Les yeux écarquillés, Tommy se laissa aller et m'embrassa à bouche-que-veux-tu pendant que son sperme se déversait dans sa bouche, se mêlant au parfum plus corsé de mon propre sperme que je pouvais discerner dans le baiser. Je laissai mon corps aller contre le sien et nous avons repris nos esprits en continuant de s'embrasser comme des amoureux.

Les minutes passèrent et remis de nos émotions, Tommy s'approcha de notre américain toujours aussi bandé dans son fauteuil. Il s'agenouilla entre ses jambes, et tout en jouant du bout des doigts avec sa queue et ses couilles, à la grande surprise du touriste d'ailleurs, il lui fit une confidence:

— I never dit anything like you want me to do now... But I'm willing to try it, as long as you come along with us to tell my friend what to do... I wouldn't want to be hurt, you know!

Il n'en fallut pas plus pour qu'il soit debout sur ses jambes et approche du lit, suivi par Tommy qui me faisait un clin d'oeil par dessus son épaule.

Le gars prit donc un oreiller sur le lit et le plaça près de mes jambes après que je me sois agenouillé selon ses conseils. Il fit coucher Tommy sur le dos, les fesses relevées par l'oreiller, m'offrant une vue incroyable sur la pastille brune entre ses fesses. Il me fit cracher dans ma main pour en badigeonner l'intérieur des fesses de Tommy, avant de continuer sur ma propre queue qui, bien que j'avais joui deux fois en peu de temps, prouvait son intérêt à continuer les découvertes de ces jeux sexuels. Comme mon sexe est plutôt fin, il nous dit qu'il n'était peut-être pas nécessaire de commencer avec les doigts et que nous pouvions y aller de suite, quoique lentement, avec prudence, afin de laisser le cul vierge de Tommy s'habituer à cette intrusion.

Couple---Exhiboys--8--copie-1.jpg Quand Tommy me fit un petit signe de la tête et ferma ensuite les yeux, je posai mon gland sur sa rosette qui s'ouvrit comme par magie sous la pression. Tommy se raidit un peu quand mon gland fut entré, mais sous les bons conseils de notre guide, il se relaxa pour me laisser continuer la pénétration. Je voyais son visage se crisper et j'avais terriblement peur de lui faire mal. Quand je vis ses traits se détendres et ses yeux se rouvrir, je poussai à nouveau et la progression se faisait plus facilement. Ses muscles s'étaient dilatés et me permettaient maintenant de visiter son antre en profondeur. Une maladresse de ma part me fit perdre l'équilibre et c'est jusqu'à la garde que mon pénis se ficha dans son cul. Un cri s'éleva dans les airs, me faisant craindre le pire. Heureusement, son sourire me rassura avant qu'il m'indique que je ne lui avait pas fait mal; c'était la surprise. L'américain nous dit de ne pas bouger pendant un moment, et que lorsque Tommy serait prêt, il n'aurait qu'à le dire pour que je puisse commencer à bouger en lui. J'espérais que ce serait bientôt car de mon côté, ses muscles serrés autour de ma verge, l'excitation que me causait la situation, ajoutés aux mouvements incessant des parois à l'intérieur de Tommy autour de mon pénis faisait en sorte que je sentais la sauce monter en moi plus rapidement que je ne l'aurais cru.

Quelques instants plus tard, Tommy me regarda en pleine face et me dit:

— Vas-y, saute-moi! Ne prends pas ton temps, je ne sais si je pourrais tenir longtemps!

Couple---Exhiboys--9--copie-1.jpg J'obéis à son ordre et me déchaînai en lui, le ramonant à toute vitesse, suivant le rythme de ses gémissements alors que je m'enfonçais à toute allure dans son cul. Je sentis mes couilles se refermer sur elles-mêmes, se coller contre la base de mon sexe, et sentant la sauce sur le point d'éclater, me retirai d'un coup sec. Ma queue rebondit contre mon abdoment et déversa tout le foutre qui me restait dans les couilles; inutile de vous préciser qu'il n'en restait plus beaucoup!

Tommy restait sur le lit, ne bougeait plus. Je ne m'étais même pas aperçu que pendant mon assaut, il avait pris la queue de l'américain et l'avait masturbé. Sa longue tige un peu ramollie dégoulinait toujours sur la couette du lit et le sourire béat qu'il avait sur les lèvres démontrait à quel point il avait aimé le spectacle qui finalement avait été... interactif en quelque sorte!

Il nous laissa prendre une douche avant de nous laisser retourner chez nous. Il avait insisté pour nous reconduire en voiture, mais comme le métro n'était pas loin, j'avais préféré refusé, désirant me retrouver seul avec Tommy pendant un moment avant de rentrer à la maison.

Couple---Exhiboys--11--copie-1.jpg Au moment de sortir notre carte étudiante de transport pour utiliser le métro, mes doigts trouvèrent deux billets de 50$ que l'américain avait dû glisser dans mes poches pendant que je prenais ma douche. Ça nous faisait maintenant 500$ US! Déjà je me demandais comment j'allais expliquer cette entrée soudaine d'argent à mes parents s'ils s'apercevaient que je dépensais plus qu'à l'habitude... Tommy qui était demeuré silencieux depuis que nous avions quitté le motel me remit deux billets de 100$ et je lui tendis un des billets de 50$ que j'avais.

Durant tout le voyage, j'avais du mal à ne pas afficher un sourire béat. Tommy lui jouait avec les billets dans sa poche et je devinais à son expression du visage qu'il se voyait déjà enfourchant son scooter, en train de dévaler les rues de la ville...

Couple---Exhiboys--10--copie-3.jpg Il me donna un petite tape sur l'épaule rendu à sa station. Il était tard et il devait rentrer tout de suite; moi aussi d'ailleurs. J'allais débarquer à la station suivante.

Le soir dans mon lit, je fus incapable de bander quand j'essayai de me masturber. J'avais beau tenter par tous les moyens de m'imaginer encore avec mon beau Tommy, ça ne marchait pas... Le charme était-il rompu maintenant que j'avais baisé avec lui? Ou n'était-ce que l'épuisement de cette journée riche en émotion?

J'allais bien voir dans les prochains jours... Tout comme j'allais voir si mon copain Tommy allait changer d'attitude avec moi!

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 21:31

Couuple-01--8-.jpg Il y a quelques années, alors que j'étais étudiant, je logeais dans une chambre universitaire. À cette époque pas si lointaine, les chambres n'étaient pas aussi confortables que maintenant. Nous avions seulement un petit évier, les toilettes et les douches étaient communes, enfin il y avait le côté homme et le côté femme. Les toilettes étaient grandes et nombreuses, les douches prolongeaient l'alignement des wc. Elles étaient dans une pièce unique les unes à côté des autres. Les lampes du plafond étaient rarement changées et donc souvent en panne; le soir, le coin douche était relativement sombre presque plongé dans le noir. J'appréciais beaucoup d'aller me doucher et je choisissais toujours les heures d'affluence afin de pouvoir mater un maximum. Certains jeunes hommes ressentaient de la gêne et se douchaient rapidement sans lever les yeux. D'autres n'avaient aucun complexe et se lavaient leurs intimités avec une pointe d'exhibition.

Une fin d'après-midi, j'étais sous la douche, nu, l'eau coulant sur mon corps. Je ressentis une petite claque sur mes fesses.

— Alors encore ici, Vic.

Je me retournai et me trouvais en face de Jacques.

Couuple-01--7-.jpg Jacques était un jeune homme de 1m70 avec un corps couvert de muscles longs et saillants. Il avait de beaux cheveux noirs, frisés et coupés courts. Ses yeux étaient d'un noir profond. Il avait un visage très viril, une belle petite gueule. Ses fesses étaient bien musclées et rebondies et son sexe était d'une assez belle taille. Je fantasmais à l'idée de le voir en action. Nous nous croisions souvent et à chaque fois il me faisait un petit sourire. Mais c'était la première fois qu'il se permettait une telle familiarité.

— Oh oui encore, répondis-je en offrant encore plus ma croupe.

Il se pencha vers moi. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. La pointe de son sexe touchait mes fesses.

— Avec plaisir, mais reviens prendre une douche un peu plus tard. En général après minuit, l'agitation n'est plus la même et le savon ne sert plus uniquement pour se laver.

Il se pencha au dessus de mon épaule:

— Fais attention, tu commences à bander.

— Arrête tes conneries sinon il faudra que tu m'aides à ce que ma queue reprenne une taille normale.

— Je n'ai pas le temps maintenant, mais si cela t'intéresse, il y a un mec pas mal qui attend dans les derniers chiottes. Si tu aimes les mecs, je suis certain que celui-ci sera à ton goût.

Il parlait avec beaucoup trop de sous-entendus. Il devait connaître ma préférence pour les garçons.

— J'apprécie toutes les expériences originales.

Jacques partit se sécher. Je restais avec mon début d'érection que j'avais beaucoup de mal à contenir. Rapidement, en cachant mon sexe du mieux que je le pouvais, je me dirigeais vers les toilettes. Il fallait que je me satisfasse, sinon je ne pourrais pas terminer ma douche.

Inconsciemment, je poussais la porte des dernières toilettes. Un jeune homme était assis sur le siège, il était nu et avait du mal à cacher sa queue turgescente. Il était brun avec des yeux noisettes et un torse puissant et fort viril. Il me fit un signe de la tête. J'hésitais un quart de seconde puis j'entrais et fermais la porte derrière moi.

Couuple-01--9-.jpg Je m'approchais et passais une jambe de chaque côté de lui. J'insérerais ma queue grossissante dans sa bouche. Il avala goulûment mon chibre. Pendant qu'il me pompait, ses mains pétrissaient mes fesses, puis un doigt commença à titiller mon anus. Je sentais son majeur coulisser en moi. Je me penchais un peu et pris sa bite dans ma main droite. Il bandait dur et fort. Sa queue avait une taille honorable. Il mettait à présent deux doigts dans mon cul. Il faisait cela avec douceur et savoir faire et pour lui faciliter le travail je me cambrais un peu mettant ma croupe en valeur. Je me redressais, me serrais contre son torse et je descendais le long de son corps jusqu'à ce que je sente la pointe de sa queue toucher mes fesses. Je m'empalais lentement sur son chibre que je sentais entrer et vibrer en moi. Je me retrouvais assis sur ses cuisses, son membre entièrement en moi, nos torses l'un contre l'autre, bouche contre bouche. Je montais et descendais le long de son torse, faisant aller et venir de plus en profondément sa queue en moi. Il me laboura le cul pendant quelques minutes puis les mouvements de son bassin devinrent plus saccadés, plus allongés et profonds. Il expulsa son sperme qui me brûla les entrailles.

Je me redressais, me désempalant. Non seulement je n'avais pas joui, mais je bandais encore plus fort. Je relevais la tête et je vis un blondinet aux yeux bleus qui regardait par dessus le mur des toilettes. Je lui montrais ma bite dans toute sa fierté et lui fis, avec la tête, signe de me rejoindre.

Mon partenaire sortit. J'attendais quelques secondes pour savoir si le blondinet allait venir. Il poussa la porte, une serviette autour de la taille. Il était très mince et je pouvais presque compter ses muscles et ses côtes. Je lui arrachais sa serviette et me pressais contre lui, mon membre dressé, pressé contre son ventre plat. Je l'embrassais farouchement, caressant son corps de mes mains. Puis je lui caressais les fesses. Il se cambrait afin de m'offrir une meilleure prise. Je me mis à genoux, je pus voir que les poils de son pubis étaient aussi d'un blond très clair. Je le retournais et lui écartais les fesses. Il avait le cul rasé et le trou bien large. Cette salope devait aimer se faire labourer et devait pratiquer cette discipline fort régulièrement. Je le pénétrais de ma langue. Il se penchait en avant, se cambrant un maximum tout en gémissant de plaisir. Plus je léchais son trou, plus il tortillait du fion et plus j'étais excité. Je me redressais et le pénétrais d'un coup. Il laissa échapper un petit cri. Son fion était large mais pas assez pour mon chibre. Son cul était un tunnel pour le plaisir. Je faisais beaucoup d'efforts pour ne pas jouir trop vite. Je m'accrochais à ses hanches et faisais des va-et-vient rapides et puissants. Il répétait sans cesse "Oui, vas-y. Défonce-moi. C'est bon. Plus fort."

Je sentis monter en moi la vague électrique annonçant l'expulsion de ma purée. J'avais l'impression que mes Couuple-01--10-.jpg couilles explosaient se vidant de tout leur sperme, tel un barrage se rompant et lâchant l'eau qu'il retient. J'avais l'impression de le remplir de ma semence.

Comme je me retirais, je vis qu'il avait aussi jouit.

— Je loge à la chambre 520, me dit-il.

— Alors à bientôt, répliquais-je.

Puis je ressortis terminer ma douche.

Je retournais à ma chambre, la serviette autour de la taille. Comme j'essayais d'ouvrir la porte de ma chambre, ma serviette glissa, me laissant nu au milieu du couloir. L'étudiant qui occupait la chambre d'en face, arriva. Il émit un petit sifflet. Je me retournais, toujours à poil. Il était assez mignon, style étudiant américain. Grand, blond les yeux bleus, son corps viril et élancé était musclé. Il se prénommait Georges.

— Et là, tu ne vois pas le reste en action.

Je me penchais pour ramasser mes clés, cambrant les reins afin de bien exhiber mon cul.

— Ce que je vois me suffirait, dit-il, en ouvrant la porte de sa chambre.

— Fais-moi un signe et le tout est à toi.

Comme signe cela te suffit.

Je me retournais, il laissait son chibre pendre en dehors de sa braguette, une bite longue et grosse de 16cm au repos.

— Mazette que j'aimerais voire tout cela dans une meilleure forme.

Couuple-01--11-.jpg Il s'écarta de la porte afin de me laisser le passage. Je n'hésitais pas et le rejoignais. Il ferma la porte derrière moi.

— Maintenant prépare-toi. Ça va être la fête de ton petit cul.

Il retira son tee-shirt. Son torse était musclé et fort, comme je l'avais supposé. Il enleva ses chaussures, il ne portait pas de chaussette, ni de slip sous son jean moulant. Les poils de son pubis étaient plus foncés que ses cheveux.

Il s'approcha de moi, me serra contre son corps. Ses mains prirent tout de suite la direction de mes fesses qu'il pétrissait. Il me souleva de terre, je passais mes jambes de chaque côté de son corps. Il me porta à son lit. Il m'allongea me gardant les jambes en l'air. Il m'écarta les fesses et fourra sa langue dans mon fion. Une langue longue et pointue qui me pénétrait loin dans le cul. Il se redressa, je vis son membre dur encore plus gros, encore plus long, énorme avec quelques veines gonflées sur le pourtour. Le gland était énorme et rouge. Je passais mes jambes sur ses épaules. Il appuya son gros gland sur ma rondelle puis commença à enfoncer son tube dans mes entrailles.

Je redressais la tête pour regarder cette énorme queue pénétrer en moi. Je serrais les dents sous la douleur de cette pénétration anormale mais aussi sous le plaisir intense que me procurait la dilatation de mon anus. Je voyais ce bras de bébé s'enfoncer en moi juste qu'à la garde. Il prenait son temps afin que je ne souffre pas trop. Il se mit à faire des mouvements de va-et-vient d'abord lentement puis plus rapidement. À chaque fois il enfonçait sa bite au fond de mon cul, le plus profondément possible. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses. Il se retira et me fit me mettre à genoux, le ventre sur le lit, le cul à sa merci. J'écartais les jambes et me cambrais afin de lui offrir mon trou dilaté. Il m'encula d'un coup. Ses mouvements étaient rapides et forts. À chaque fois le lit tapait contre le mur. Il ahanait bruyamment. Tout d'un coup, de la chambre voisine, un coup fut frappé contre le mur.

— Calmez vous, j'aimerais réviser en silence.

Mon partenaire répliqua:

— Tu n'as qu'à nous rejoindre.

— J'arrive.

Couuple-01--13-.jpg Ses coups de butoir continuèrent de plus belle. Après son passage ma cheminée serait une gare routière.

Le voisin entra et nous regarda. C'était un jeune homme appelé François. Il porta immédiatement sa main à son jean. Georges éjacula dans mon cul, me remplissant de sa semence chaude. Il devait bien en déverser plus d'un verre. Il se retira, me mit une petite claque sur les fesses puis dit:

— Allez je vous laisse, je vais prendre une douche.

François s'approcha, ôta sa chemise et se mit à genoux. Il me lécha le cul, lapant le sperme qui s'en écoulait. Il m'écartait bien les fesses afin de pouvoir atteindre le fond de mon trou. Il finit de se déshabiller. Je me retournais et m'asseyais sur le lit. Il s'approcha de moi et fourra sa queue dans ma bouche. Je sentais la chaleur et l'excitation de son corps passer à travers sa bite. Il éjacula très vite.

— N'avale pas.

Il m'embrassa. Son sperme se mêla à nos salives. Il se mit à genoux sur le lit m'offrant sa croupe.

— Baise moi.

Je me mis debout et l'enfourchais d'un coup. Il gémit sous l'impulsion forte qui lui explosait le cul. Il disait des insanités, voulait que je l'insulte, se comportait pire qu'une chienne en chaleur. Je lui défonçais le fion violemment. J'attrapais sa crinière noire et lui tirait la tête en arrière. À chaque fois je ressortais presque entièrement ma queue de son trou et m'y enfonçais d'un coup sec. J'entrais une dernière fois au fond de ses entrailles et j'éjaculais, déversant ce qui restait de mon fluide. Je me retirais.

Il s'enfonça les doigts dans son cul, les ressortait couverts de mon sperme et léchait goulûment sa main. Je le laissais et retournais me reposer dans ma chambre. J'avais besoin d'une douche mais je décidais de me reposer auparavant. Je me réveillais vers minuit et demi. Je retournais me laver. En approchant des douches, j'entendais qu'il y avait beaucoup d'animation. Je passais ma serviette autour de mon cou. La salle de douche était plongée dans une pénombre assez importante et je pouvais voir plus d'une dizaine de formes en action.

Sitôt que j'entrais dans la salle, des mains parcoururent mon Couuple-01--6-.jpg corps et arrachèrent la serviette qui me protégeait. Des mains passaient sur mon torse tâtant mes muscles, d'autres caressaient mon sexe, certaines les fesses et même quelques doigts tentaient de pénétrer mon trou. Un homme prit ma tête à deux mains et m'embrassa.

— Salut Vic, prêt pour la fiesta.

C'était Jacques. Il me fit me pencher en avant, m'exhibant sa queue grossissante: une bite grosse, bien droite avec quelques petites veines et surtout très longue.

— Suce-moi et montre bien ton cul. Il faut d'abord que mes copains t'élargissent sinon je ne pourrais jamais te baiser.

Je commençais à le pomper. Sa queue était bonne mais d'une taille vraiment monstrueuse. Une langue glissa le long de la raie de mes fesses. J'écartais les cuisses et me cambrait afin de bien offrir ma croupe. La langue s'enfonça entre mes fesses pour atteindre mon anus. La langue du mec qui me léchait était longue et elle pénétra dans mon trou agilement. Je la sentais bouger dans mes entrailles. Pendant ce temps, Jacques continuait à engouffrer son membre dans ma bouche. La langue se retira, un doigt pris sa place. Un doigt qui fouilla un peu dans mon intimité, puis un deuxième vint le rejoindre, puis un troisième. Le mec essaya d'enfoncer sa main mais mon cul n'était pas assez large.

Néanmoins il continua à travailler mon cul quelques minutes. Puis il retira sa main, se releva et m'enfourcha d'un coup enfonçant dans mon cul sa bite qui était grosse mais peu longue. Je sentais mon anus encercler sa queue. Il alternait les cadences. Une fois il faisait des va-et-vient rapides, puis il ralentissait. Il sortait complètement sa queue et l'enfonçait violemment d'un coup dans mon trou. Pendant se temps, je continuais à sucer Jacques. Mon pénétreur commença à s'exciter, ses mouvements étaient moins rythmés, plus désordonnés. Il expulsa sa jute en moi, réchauffant ainsi mes entrailles. Un autre le remplaça.

— Je vais te nettoyer le cul.

Il prit une savonnette et posa le petit bout devant mon trou et commença à appuyer sur ma rosette. Il poursuivit ce travail lentement jusqu'à ce que la savonnette soit presque entièrement en moi avalée par mon cul. Mon fion, huilé par la savonnette, était glissant comme une patinoire.

— Attends, je vais te nettoyer aussi l'intérieur du cul.

Couuple-01--14-.jpg Il se redressa et m'encula, poussant dans mes entrailles la savonnette avec sa bite. Mon anus se referma d'un coup sur sa queue. Il me lima le fion rapidement, entrant et sortant vivement. Sa bite glissait facilement grâce au savon. À chaque fois qu'il enfonçait sa queue il poussait un peu plus la savonnette, c'était douloureux et bon à la fois. Il se retira d'un coup et me fit mettre sur le dos, les cuisses posées sur son torse, le cul en hauteur, offert. Il plongea sa queue d'un coup dans mon cul. Un couple se mit juste au-dessus de moi: un se faisant prendre et l'autre le sodomisant avec vivacité. Je pouvais voir ce que l'on était en train de me faire. Je regardais avec avidité cette belle queue qui s'enfonçait dans ce trou goulu. L'enculeur jouit. insatisfait l'enculé s'accroupit m'offrant son cul à lécher. Son trou était bien large et ma langue pouvait entrer loin en lui. J'arrivais même à lécher quelques gouttes du sperme de son précédent baiseur. Il se redressa et s'empala sur ma queue. Mon enculeur se retira. Il avança doucement derrière le jeune que je pénétrais et essaya de faire entrer sa queue en même temps que la mienne. Nous étions deux en lui. Il gueulait de douleur et de plaisir, surtout que tous les deux nous bougions rapidement nos queues.

— Enfonce moi ta main dans le cul, me dit l'avaleur de bite.

Il se dégagea de nos bites et se mit à genoux. Je fis ce que plus tard on nomma Fist Fucking. Je me mis à genoux et je lui enfonçais ma main dans les entrailles. Un autre homme se mit à côté du premier fist fucké et me demanda de lui mettre mon autre main. Pendant ce temps mon enculeur avait repris sa position initiale, me faisant bien jouir du cul. Un quatrième garçon s'allongea sur le sol et se mit à me sucer alors qu'un cinquième se mit en face de moi afin que je le turlutte. J'étais avec mes deux mains occupées dans deux culs différents, ma queue dans la bouche d'un inconnu, ma bouche bouffant le membre d'un autre et mon cul limé par une bite d'enfer. Alors que je jouissais, le garçon me déchargea dans la bouche et mon enculeur envoyait sa purée brûlante dans mes entrailles. J'enlevais mes mains des fions où très rapidement de grosses bites prirent leur place.

Après une telle séance je préférais retourner à ma chambre pour me reposer car après tout j'avais des cours à suivre le lendemain matin. Comme j'arrivais devant ma chambre, Jacques me rejoignit

— Alors à nous deux maintenant.

J'ouvris la porte de ma chambre, m'écartant pour laisser passer Jacques. Sitôt la porte fermée, Jacques laissa tomber sa serviette, exhibant sa nudité, son corps viril, son membre encore gonflé de sang. Il m'arracha ma serviette et m'attira contre lui. Nos deux corps étaient serrés l'un contre l'autre, nos torses chauffés par l'envie. Sa langue pénétra ma bouche. Il avait une langue fine, pointue, ferme et très agile. De sa main gauche il caressait mon dos, de la main droite, il pétrissait mes fesses. Il me fit mettre à genou et enfila sa grosse queue dans ma bouche. J'avalais avidement cet énorme queue que ma bouche ne pouvait contenir en entier. Je sentais les veines qui couraient le long de son membre turgescent. Mes sens étaient affolés par le plaisir que de pomper Jacques et par l'odeur légère et parfumée dégagée par son pubis.

Jacques me releva et me fit mettre à genoux sur mon lit, les cuisses bien écartées afin d'avoir le cul bien ouvert. Il attaqua ma rosette avec sa langue, pénétrant mon trou de sa pointe fine. Ses mains étaient accrochées à mon bassin, son visage enfoui entre mes fesses. Il dégustait mon trou comme on lèche une bonne glace; passant et repassant la langue, mordillant à pleines dents.

— T'es pas assez ouvert pour que je te pénètre avec la langue.

Il se redressa et présenta son membre turgescent à mon anus. Il força un peu pour faire pénétrer son gland. Il accrocha ses mains à ma taille, me tenant bien fermement, puis d'un coup s'enfonça jusqu'à la garde. Je criai de surprise et de douleur.

— Eh du calme.

— Ce n'est qu'un bon moment à passer.

Il prenait plaisir à aller et venir vigoureusement, sortant complètement sa queue et l'enfonçant à nouveau à fond dans mon cul.

Après quelques minutes de cet intense va-et-vient, qui je devais le reconnaître, me procurait un intense plaisir, il se retira et se remit à genouix derrière moi. Mon trou était bien dilaté et il enfonça sa langue en moi. Je devais reconnaître que sentir cette langue longue et pointue se mouvoir en moi, me déclenchait une sensation incroyable à laquelle je ne m'attendais pas. La pointe de sa langue titillait toutes les zones érogènes de mon cul. Après quelques secondes, mes sphincters se resserrant, il me fit m'allonger sur le lit et me couvrit se son corps, en profitant en même temps même temps pour caler à nouveau sa bite dans mon cul.

J'étais complètement soumis, écrasé par son corps musclé, pénétré par ce mâle énergique. Je me sentais bien, coincé, chauffé par son corps magnifique et excité par sa vibrante queue. Nous basculâmes sur le côté afin que je puisse me branler en même temps qu'il continua son limage viril. Nous jouïssâmes ensemble. Il laissa son membre gonflé dans mon cul.

Couuple-01-copie-1.jpg — Je peux rester dormir avec toi.

— Évidemment, répondis-je avec entrain, encore sous le choc extatique du plaisir.

Nous nous endormîmes, moi calé contre son torse, sa bite toujours dans mon cul.

Dans la nuit, je me réveillais sentant Jacques bouger. Sa queue était toujours dans mon trou et il était en train de faire des basculements de bassin afin de se branler dans mon cul. Je sentais son sexe grossir en moi. La sensation était étonnante et affolante. Son sexe grossissait et se développait dilatant mon trou en même temps. Immédiatement, j'avais une érection. Jacques empoigna ma bite et la serra fortement. Il s'accrochait à mon mât tout en m'enculant. Dans un mouvement plus fort et plus profond, sa lance cracha en moi une nouvelle fois son chaud liquide me faisant jouir en même temps.

Nous nous endormîmes, mais chacun de son côté du lit.

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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 07:53

Eh oui. Comme plusieurs, à mes 13 ans, j'ai découvert que ce que j'avais entre les deux jambes ne servait pas juste à vider ma vessie, mais aussi à vider mes couilles, qui en demandaient tous les jours, depuis cette découverte, c'est tellement super, une bonne éjaculation, une le matin au réveil et aussi avant de dormir le soir, deux fois par jour.

À mes 14 ans, je le faisais régulièrement et avais aussi compris aux douches, que les hommes seraient ma vie, surtout certains soirs, que je pouvais espionner mon grand frère de 19 ans.

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Nous habitions dans une maison avec mes parents à l’étage et nous avions le sous-sol pour nous seul, une genre de salon et deux petites chambres, j'avais déjà vu mon frère (moi bien caché) se masturber son beau gros 8 pouces, très virilement, se serrant ses grosses couilles velues de son autre main et au moment d'éjaculer, il prenait un de ses bas, se le passait sur sa grosse queue, pour y éjaculer en râlant fortement. J'avais pris la même habitude, comme je porte deux bas, un pour le soir et le deuxième le matin, avant de les mettre au panier à linge sale...

Un soir j'étais seul et j'ai trouvé une cassette vidéo de sexe, dans le fond d'un tiroir de mon grand frère, suis retourné au salon et regardé ça... Wow... Les gars avaient de supers grosses queues que les filles léchaient, mangeaient, je ne voyais presque pas les filles, que les gars qui leur entraient leur grosses queues entre les jambes... Pas long que j’étais mes boxers baissés et me masturbais, les yeux rivés à la télévision... Tellement pris sur ce que je voyais que j'ai pas entendu entrer mon frère.

— Eh Raymond, qu'est ce que tu fais là? Qu'il a crié.

— Rien. Rien... en remontant mes boxers, rouge comme une tomate trop mûre.

— Tu fais rien, mon oeil, tu te crosses... Et en plus tu as fouillé dans mes affaires.

— Écoute, Frank, je... J'ai trouvé ça...

— En fouillant... Avoue-le...

— Oui. Excuse-moi...

— OK... Continue, c'est normal de se masturber...

— Je m'en vais dans ma chambre...

— NON, j'ai dis, enlève tes boxers et tu te masturbes là... Devant moi...

— Voyons Frank... Pas sérieux?

— T'es sourd?

Il s'approche de moi et de sa main ferme arrache en les déchirant mes boxers. J'avais débandé... Je ne savais plus quoi faire...

— Montre-moi comment tu fais ça... Dit-il.

— Et toi, tu le fais pas? T'ai déjà vu et tu le fais presque tout les soirs...

— Tu m'espionnes... Tu aimes ça me voir faire... AVOUE-LE!!!

— Oui. Frank... J'avoue.

Il se déshabille à poil, s'assoie près de moi, sur le divan, ses grandes jambes velues bien écartillées et se masturbe, pas long que son 8 pouces était gonflé, moi aussi mon 6 pouces étais raide...

Il me regarde...

— Ouinnnnn belle queue pour ton âge, à 18 ans, tu vas être comme moi, beau gros 8 pouces...

Il se penche et me suce... Oufffff il le prend au complet dans sa bouche et me dit:

— As-tu déjà fait ça... Sucer?

— NON, jamais...

— Tu as vu comment, mets-toi à genoux entre mes jambes et suce-moi...

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Je me suis mis à genoux aussitôt, tellement rêvé à lui faire ça... J'ai pris son beau gros gland, que j'ai léché, entré dans ma bouche, il m'a pris la tête entre ses deux grandes mains et m'a poussé à fond dans la gorge son gros 8 pouces. Bien à fond... Il m'a fait léché ses grosses couilles velues, me l'a remise dans la bouche, à fond dans la gorge et il a éjaculé dans ma bouche... J'avais la bouche pleine de son bon jus de mâle, que j'ai bien goûté avant de tout avaler... Ça avait un goût plus prononcé que mon sperme, (que j'avais goûté 2 ou 3 fois)...

Me suis relevé et il m'a dit:

— Reste debout devant moi, et vide-toi sur mon ventre.

Je me suis masturbé et en moins de deux minutes,, j'ai lancé 5 grands jets épais sur son corps velu. Il m'a pris la tête vers son ventre et m'a dit:

— Lèche ça, nettoie-moi ça...

J'ai tout léché...

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— Va te coucher... Ça va être super maintenant, un petit frère gai... Plus besoin de me masturber quand je suis en manque... VA TE COUCHER! Il a y avoir d'autres exercices de ce genre-là...

Me suis couché, heureux comme un pinson... J'avais sucé ma première queue et même avalé le premier jus d'un autre gars, et un plus c’était mon beau grand frère...

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Presque deux fois par semaine, surtout quand il était dans la douche, il me faisait sucer son beau gros 8 pouces, que j'aimais sucer jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche, mais lui, ne me touchais presque pas...

_Ma première pénétration

Un samedi soir, je reviens chez moi, descends en bas, mon frère Frank et son copain Antoine étaient là avec deux filles. Musique douce, lumière faible, ça se tâtait, s'embrassait... Mais j'avais reçu l'ordre de mon frère, dans ces cas-là: je vais direct à ma chambre. Ce que je fis...

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Une trentaine de minutes plus tard, ça gueulait au salon, les deux gars voulaient baiser, les filles ne voulaient pas, j'entendais des bribes de phrases...

— As-tu peur d'une queue? Tu suces pas, ôte tes culottes.

— Non... Suis pas une salope...

— T'es une salope...

Des gros mots en tout cas.....

— Vous êtes agace-pissettes, allez vous-en...

Les filles sont parties en colère, les deux gars encore plus... Critiquaient les filles et Antoine a dit à Frank:

— Mets un vidéo de cul que je me crosse. Je suis bandé raide pas toi?

— Mets en! Il faut que je me vide, mes couilles vont exploser. Me faire agacer comme ça...

— Mets le vidéo et à poil que l'on se masturbe 2 à 3 fois... Mets-le...

Tour deux assis écartillés en mâle. Se touchaient pas. mais jouaient avec leur queues, se masturbaient. Antoine lui dit:

— Clisssss que j'ai le goût d'une bonne pipe, tu en connais pas une qui suce?

— Tu veux vraiment te faire sucer?

— Yessssssssssssssss, appelle-en une...

— J'en connais pas une, mais un... Et il crie: "RAYMOND VIENS ICI!"

Je savais ce qui m'attendait... J'arrive et Frank me dit: "Viens ici et suce nous..."

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Antoine, beau grand blond comme lui et un super gros 8 pouces, son gros gland mouillé... À genoux devant lui et lui gobe sa belle grosse queue bandée raide.

— OUI... Tu connais ça, Ray... Mange-la moi... Ho oui, prends la toute...

Je lui lèche à sa longueur du beau gros gland à ses couilles presque pas poilues... Pas été long qu'il gémissais et a dit: "Ray, avales-tu?" Fais signe que oui... J'ai engouffré son 8 pouces à fond et "HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA" il a éjaculé 6 grands jets de sperme...

Frank a crié: "Viens, à mon tour..." Me suis déplacé vers lui et aussitôt, lui suce son beau gros 8 pouces, connaissais ses parties sensibles, il en gémissait fortement pendant qu'Antoine caressait mes fesses et dis:

— Tu a un super beau cul, de vrai belles fesses... Je suce pas une queue, mais je vais manger ton beau cul...

À genoux derrière moi, il lèche ma craque, mon anus... Hooooooooo que j'aime ça... Je le sens pousser sa langue dans mon cul. Hoooooooooo OUI... Je suçais avidement Frank qui m'a donné sa grande charge de sperme dans la gorge, que j'ai tout avalé...

Antoine me dit:

— Raymond as-tu déjà été pénétré?

— Non jamais. Ça doit faire mal...

— Voyons... Aimes-tu ça ma langue dans ton beau petit trou de cul?

— Oui, c'est bon...

— Et là mon doigt... Ça te fais-tu mal?

— Non, ça va... Juste un peu.

— Laisse-moi essayer, si tu as mal, dis-le, et j'arrête.

— Ok, mais doucement.

Je l'ai senti mettre son gros gland sur mon anus vierge et il pousse, et pousse...

— OHHHHHHHH!!! Arrête, bouge pas, ça fait mal... Reste dedans. mais bouge pas!

— D'accord...

Et il pousse un peu plus, un peu plus... J'ai senti une drôle de sensation en moi. J'ai bandé raide (plus tard, j’ai su que c'était sa queue sur ma prostate). Il a commencé à m'enculer virilement, bien à fond...

— HOOOOOOOOOOOOOOOOOO... Que j'ai lâché.

— Ça fait mal, Ray?

— NON... NON! C'est bon, continue... Oui continue...

Il m'a tenu par la taille fermement et m'a enculé en vrai mâle macho, virilement et dans un cri "HAAAAAAAAAAAAAA, JE VIENS! HAAAAAAAAAA OUI...", je sentais couler son sperme épais sur mes couilles... Il se retire, je regarde mon frère... En souriant... Il a compris vite et à son tour son gros 8 pouces bandé raide, dans le jus de son meilleur ami, il m'enculait à fond, grognait. Gémissait... Et vite "HAAAAAAAAAAAAAA!!!", il mélangeait son sperme à celui d'Antoine et se retire...

"Pas été long!" qu'Antoine a dit...

— Eh les gars. Ne répétez jamais ça à personne... Vous me le jurer...

Frank a dit: "Sûr voyons... Suis pas fou!"

Moi, silence total... Les regardent en souriant et leur dis

— À une seule condition.

— Quoi tu as pas aimé ça?

— Oui, j'ai aimé ça... Je vous ai sucé, vous m'avez enculé... J'exige que vous me suciez tout les deux et je vous promets le silence total... Et un suce ma queue et l'autre mes couilles, à tour de rôle jusqu'à ce que j’éjacule...

— Approche. petit rat... Pas le choix...

Antoine a pris mon 6 pouces dans sa bouche... Frank à 4 pattes léchait mes couilles, son index dans mon cul. Deux minutes et j'ai éjaculé dans la face d'Antoine qui a gueulé, qui m'a dit:

— Satisfais là? Tu vas te la fermer...

— À une autre condition... Que l'on puisse recommencer encore...

— C'est pas une condition ça... Ça va me faire plaisir! Dit Antoine.

À quelques occasions, seul avec Antoine ou plus souvent seul avec Frank, et des fois à trois... Le tout dura un peu plus d’une année...

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Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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Mercredi 25 juillet 3 25 /07 /Juil 21:05

Exhib-.jpg Voici comment s’est passé ma première fois avec un mec. J'avais 20 ans.

Mon nom est Sam, je suis à moitié algérien et français. À l’époque, je vivais chez ma mère et pour les grandes vacances, je décidai de monter deux mois chez mon cousin Joris (25 ans, sportif, boxe et muscul, 1m81, 75kg, brun et super bogoss).

Fin juin, j'arrivais chez lui avec une simple valise. Il me laissa le canapé comme lit. Après quelques jours de recherche de taff, je ne trouvais rien sauf un simple boulot chez McDo, le rêve quoi, ça ne gagnait pas grand chose. Le soir, je lui ai raconté ma journée, mais il en avait rien à faire, lui ce qu'il voulait, c'était être prêt pour son combat de boxe ce weekend. Il était juste en survêt et torse nu en train de faire des pompes, et moi j'étais en train de le matter grave. Pourtant à l’époque, je n'avais jamais couché avec un mec.

Le soir du combat, il rentra complètement défoncé. Il avait bien sûr gagné et il avait bien fêté ça avec ses potes. Moi j’étais en train de dormir, je pigeais rien de ce qu il me disait.

— Ça va Joris? Ton combat s’est bien passé?

— Je l'ai défoncé grave, ce bâtard!

Il avait le visage quand même un peut gonflé, il avait dû s'en manger plus d’une bonne quand même.

— Et après avec les pote, on est allé en boîte fêter ça, et il y avait une putain de meuf! Trop bonne, avec un bon p’tit cul!!!

Il s’avança vers moi, me regarda le cul.

— Limite comme le tien Sami, et il me plota le cul.

— Oui mais je suis pas une meuf Joris! Bon allez, bonne nuit cousin! Il est super tard et je suis cassé et en plus je taff moi demain!

— Tu as rien foutu de la journée et tu es cassé!!! Tu pourrais au moins t’occuper de moi un peu! Putain!

Exhib---5-.jpg Il puait l’alcool, je l'aidais à lui retirer ses basket, son jean. J'étais assez gêné car il ne portait pas de slip et je voyais sa queue. Elle ne bandait même pas mais elle était super grosse avec de bonnes couilles mais il y avait pas un poil. Joris me regarda:

— Allez cousin, suce moi, j'ai vu que tu arrêtais pas de mâter la dernière fois! Allez pompe moi, putain je suis trop chaud!

— Oui c’est ça Joris, bonne nuit!

En vérité, j'en avais grave envie, mais bon, je me cassais asse vite car je commençais à avoir ma queue raide dans mon boxer.

Deux minutes plus tard, je n'entendais plus rien. Il devait être en train de dormir. Moi je bandais toujours. J'ai commencé à me branler et quelques minutes plus tard, j'avais joui et je m'endormais en pensant à mon cousin et sa queue.

Quand d'un coup on m'arracha les cheveux et je me pris une baffe dans la gueule, je tombai au sol.

— Tu es vraiment une pute comme toutes les filles. Tu mates et tu fais rien!

Et là, je me pris un coup de pied dans les côtes. Il me prit la tête, me mit un bon coup de poingt dans la geule. Je tombais sur le canapé complètement sonné.

— Comme j'ai pas sauté cette pute en boîte, c’est toi que je vais sauter. Tu as le même cul et tu dois être encore plus serré qu’elle du cul.

Je pigeais vraiment rien de ce qu'il pouvait se passer. Je sentis mon caleçon partir à une vitesse et il me le mit direct dans la bouche.

— Et ne gueule pas trop fort, tu vas voir je suis sûr que tu vas l'aimé, toute les filles l'aiment ma queue. Je vois pas pourquoi pas toi.

Exhib---4-.jpg J’avais le corps posé sur le canapé, le cul et les jambes qui dépassaient, il me cracha sur mon cul.

— En plus tu es comme les filles, tu n'as pas de poil, je kiff trop ça!

Il me cracha sur ma rondelle, il y mit un doigt et là déjà j'avais mal. Il avait l'air d'avoir une putain de grosse queue, j'ai su plus tard qu'elle faisait 22cm et super épaisse. Il commença à me travailler le cul avec un deuxième puis un troisième.

— Ça y est, tu es enfin prête salope, tu vas aimer j'en suis sûr, et même tu en redemanderas encore plus.

Il approcha son gland de ma rondelle et poussa d'un coup sec jusqu'au bout. Je me mis à gueuler comme si j'avais reçu un coup de poignard, même mon caleçon n'arrêtait pas le son de ma voix. Il me prit la tête et me la plaqua face contre le canapé pour étouffer les cris, mon cul était déchiré en deux. Il me mit un coup de poingt dans le côté, ce qui me bloqua la respiration.

— Putain tu vas aimé être ma pute je te jure, tu vas être accro de ma queue!

Et il commença à me ramoner le cul. J'avais tellement mal que je n'entendais limite plus tout les insultes qu'il était en train de me dire. Il était en train de me pistonner de plus en plus fort, je sentais ses couilles me taper le cul. Il me claquait les fesses avec force que j’en oubliais le mal que me faisait mon cul.

Il se retira d’un coup, il me prit par les cheveux et me fouta debout contre le mur. Je chialais comme un môme, lui disait plutôt comme une bonne meuf qui vient de se faire dépuceler. Il me retira mon caleçon de la bouche, m'écarta les jambes et pointa sa queue contre mon cul encore en feu. Il rentra encore une fois d'un coup, mais cela me fit moins mal que la première fois.

— Allez salope! Bouge ton cul sur ma queue!

Exhib---7-.jpg Il me claqua encore une fois le cul. Les mains posées contre le mur, je commençais à bouger mon cul d’avant en arrière, lui posait les siennes sur les mienne et parlait comme une pute dans le creux de l’oreille.

— Tu aimes ça hein? Dis le moi.

Je n'arrivais pas à sortir un seul mot mais je començais à trouver un certain plaisir.

— Allez Sam, dis le moi, tu aimes te faire mettre?

En réponse, j'accélérais le mouvement de mon cul sur sont pieu.

— Oui c’est ça salope, bouge bien ton cul. Ça prouve que tu aimes ça. Allez plus vite!

Je commençais à gémir de plus en plus, je sentais que j'allais jouir sans même me toucher. Joris lui ne parlait plus mais il me pilonnait de plus en vite et de plus en plus fort quand il se raidit et m’écrasa la gueule contre le mur et là, je sentis une vague de chaleur dans mon cul. Moi les mains toujours bloquées par les siennes, je me mis à jouir et déchargeais tout contre le mur et poussai un râle en même temps.

Exhib---6-.jpg Joris se retira de mon cul sans rien dire et repartit dans sa chambre et ferma la porte. Moi, les jambes en coton, je glissais contre le mur. Je me mis à pleurer. J’avais le cul en feu et qui coulait du sperme de mon cousin et j'avais la joue posée contre le mur dans mon sperme.

Je réussis à peine à dormir cette nuit là et le lendemain matin, je partis direct bosser au McDo. Mais je me disais: Putain, comment ça va se passer ce soir quand je vais rentrer du taffe?


Exhib---2-.jpg

Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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