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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 11:16
Ryan-Phillipe---Josh-Elliot.jpg Je me présente, je m'appelle Franck et j'ai aujourd'hui 26 ans. Mon histoire a débuté quand j'avais aux alentours de 14 ans, à l'époque où on se masturbe régulièrement.
Comme une majorité de mecs, je regardais des films pornos et me branlais pour un oui ou pour un non, tous les soirs, le midi... J'avais quelques copains proches et un particulièrement avec qui on se masturbait: son père avait une collection de pornos impressionnante et on profitait des mercredis après-midi pour se les mater.
Son nom était Stéphane. Roux, musclé déjà pour son âge, il avait un truc qui m'attirait, pourtant j'aimais et j'aime les femmes, mais lui, je le voulais. Après plusieurs séances devant la télé, nous sommes montés comme d'habitude se finir dans sa chambre. On s'allongea sur son lit avec seul un t-shirt sur nous et on commença à se branler. Je ne pouvais pas détourner mon regard de sa bite de taille modeste mais qui m'attirait. Je lui demandais alors si je pouvais la toucher et le branler. Il me dit oui et je pris sa queue en main pour la première fois. C'était génial de le sentir prendre du plaisir comme ça. Il ne voulut pas me rendre la pareille ni que je le fasse jouir mais ce fut bon pour une première.
À partir de ce jour, nous essayions de dormir l'un chez l'autre le plus souvent possible pour avoir toute la nuit pour se toucher car rapidement, il avait entrepris de prendre ma queue. Dès que nos parents se voyaient, mangeaient ensemble, on s'arrangeait pour finir dans le même lit. Au début, nous étions l'un à côté de l'autre sur le dos et on se branlait à tour de rôle, mais rapidement, j'avais envie d'approcher sa queue de plus près. Je sentais en moi d'autres désirs plus avancés. On se mettait alors toujours sur le dos mais tête-bèche, ce qui me permettait d'avoir la tête à hauteur de sa bite et de la sentir, de la renifler, de la branler en la regardant de près. Plusieurs fois, j'ai mis ma bouche au-dessus, profitant de l'obscurité pour m'en approcher. Plusieurs fois je l'ai fait jouir et j'ai goulûment avalé le sperme qu'il me lâchait sur la main.
Je n'en pouvais plus, dès que je le voyais, un mécanisme sexuel s'activait en moi et j'avais envie de sa bite! J'adorais le finir en me mettant à genoux entre ses jambes et en allant jusqu'à ce que son sperme vienne s'écraser sur sa poitrine. Puis je léchais mes doigts après avoir pris soin d'avoir le plus de semence possible sur ma main, pour être rassasié.
4Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg C'est à cette époque que j'ai commencé à gouter mon sperme, à tenter de me faire des auto-fellations et à m'asperger le visage avec mon foutre. Durant cette période (j'avoue qu'encore aujourd'hui...) je m'enfonçais tout ce que je pouvais dans le cul pour ressentir ce que pouvais être une sodomie. Je m'achetais des capotes que je mettais sur mes "godes" dont mon préféré, un tube de laque de 25cm de long sur 5 de circonférence, et je m'enfonçais ça bien profond et je m'activais dessus comme un fou jusqu'à hurler mon plaisir.
Ma sexualité prenait une autre dimension et je profitais de l'obscurité pour de plus en plus m'occuper de la queue de Stéphane en restant à genoux entre ses cuisses tout en me doigtant le cul, attendant impatiemment sa queue pour remplacer mes doigts.
Un an plus tard, je devais alors avoir 15 ou 16 ans, nous étions parti dans la maison de campagne de mes parents avec ma mère. Nous dormions dans la tente dehors, la maison étant petite et surtout cela nous permettait de faire le mur la nuit. Mais ce qui m'intéressait, c'était lui et ce qu'il avait entre les jambes. Dès le premier soir, à peine entrés dans le duvet, je lui mis la main sur son paquet et il ouvrit son duvet, baissa son caleçon. Je fis de même et nous avons pris nos queues en main pour commencer doucement. Comme j'aimais ça, il prenait mes couilles dans sa main pendant qu'il me branlait; il savait y faire et ça me rendait dingue. De mon côté, j'étais juste au-dessus de sa bite, la regardant subir mes aller-retours. Je sentais monter en moi une frénésie incontrôlable et de son côté, il semblait plus enclin à aller plus loin que d'habitude, n'hésitant pas à me caresser les cuisses et le ventre. Ne tenant plus, je lui demandais:
— Tu t'es déjà fait sucé?
— Non, et toi?
— Non.
2Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg J'avais lancé l'appel, je ne pouvais pas en rester là:
— Je peux te sucer s'il te plaît? lui demandais-je doucement de peur de sa réaction.
— Si tu veux...
Je me mis allongé à ses côtés et je m'avançais vers son membre doucement. Je léchais son gland, en faisait le tour avec ma langue, l'embrassant tout du long avant de la prendre dans ma bouche. Quelle sensation, à la fois bizarre et impossible à oublier. Je m'activais sur sa queue, l'entendant gémir. Je l'avalais complètement tout en me doigtant les fesses avec ferveur. Je voulais être plus soumis et qu'il me montre vraiment son plaisir. Je me suis mis sur le dos et lui est venu sur moi. Il était à genoux et se branlait dans ma bouche. Je lui caressais les fesses, me touchais en même temps et voulais qu'il me remplisse la bouche mais il s'arrêta, se mit sur le dos et me demanda de le finir à la main. Une fois qu'il m'avait fait jouir aussi, je me sentis à la fois heureux et honteux d'avoir sucé un mec.
Cette honte fut vite balayé et dès le lendemain: je le resuçais avec un plaisir non feint.
S'en suivit une période de folie d'environ deux ans, nous nous touchions partout et tout le temps. En partant au ski en voiture, nous étions à l'arrière, moi derrière le chauffeur et lui à mes côtés. Les deux autres personnes dormaient et nous nous branlions avec un duvet sur les genoux; je descendis même lui lécher le gland quelques secondes. Toutes les soirées se finissaient ensemble, quitte à écourter la fête. Après un concert, nous allions avec les cinq autres personnes nous accompagnant au camping. Nous avions 3h30 de route et je conduisais. Nous prenions donc un verre avec des personnes rencontrées lors du concert puis Stéphane alla se coucher. Je prétextais la fatigue et la conduite du lendemain pour aller le rejoindre. Dans la tente, à deux mètres de nos amis, je l'ai sucé pendant de longues minutes en lui caressant l'anus mais cela ne lui plut guère et j'arrêtai vite. Par contre, il jouit sur son torse et je goûtais son sperme goulûment et cette fois, il me vit faire. Il me demanda pourquoi je faisais ça et je mentis; je dis que je voulais y goûter, voir le goût.
Encore après une soirée, nous nous sommes débrouillés pour se retrouver dans le même lit et nous savions lequel prendre pour être tranquille. En effet, un copain a une maison sur trois niveaux et sa chambre est au troisième, le salon et la chambre de ses parents au deuxième et au rez-de-chaussée, seule une chambre avec un lit et le garage. C'est là que nous avions pris place. À la fin de la soirée, passablement éméché, j'avais envie de sexe. Stéphane aussi et tout le monde alla se coucher en haut. Cette période était géniale car je me déshabillais complètement avant de me coucher et je m'aprochais à peine du lit que déjà Stéphane avait ma queue en main et me branlait pendant que je m'installais. Ce soir-là, je fus pris d'une envie frénésique de sperme et je le suçais avidement dans plusieurs positions, lui debout moi assis sur le bord du lit, lui allongé, moi à genoux, lui à genoux sur le lit, moi à quatre pattes, me caressant l'anus sans discrétion, et c'est ce jour qu'il me caressa pour la première fois l'anus sans pour autant entrer mais il passa plusieurs minutes à me caresser et je mis deux doigts dedans pendant que lui poussait sur ma main pour donner le rythme à cette pénétration. Je le sentais prêt à jouir mais il me demanda de ne pas le faire jouir dans ma bouche et il se mit sur le dos. Je me suis alors mis à genoux entre ses cuisses, collé mon sexe contre le sien et j'ai branlé nos deux queues en même temps entre mes mains. Nous avons joui assez rapidement tous les deux et tout le foutre est allé se mélanger sur son torse. J'en voulais encore et me suis précipité sur sa queue pour la nettoyer. Il me dit:
— C'est dégueulasse, arrête!
— Mais non, laisse-toi faire.
— C'est toi qui vois!
Et je lui ai ainsi nettoyé la bite.
L'été était là avec ses fêtes à répétition et aussi les soirées en semaine où je restais dormir chez lui. Mon nouveau plaisir était de le sucer allongé, lui au-dessus de moi et de le faire jouir sur mon torse. Je me régalais de cette situation. Plusieurs fois, nous nous sommes mis en 69 mais il me branlait tandis que je le suçais. Je lui demandais un jour de me sucer mais sa réponse fut sans équivoque:
— Si tu veux faire des trucs de PD, tant mieux pour toi, mais pas moi!
— Tu te fais sucer par un mec depuis plusieurs mois, et t'es pas PD pour autant, ça changera rien à ta sexualité de me pomper...
— Non, c'est non!
5Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg Je ne pouvais pas arrêter de le sucer même après cette discussion et ce fut la première fois que je le fis jouir dans ma bouche, rejetant le sperme sur son ventre. Sa réaction fut là encore assez déroutante, me disant que c'était dégeu, etc...
Une semaine après, nous sommes partis en Bretagne pour un weekend de camping et bien sûr, entourés de couples, nous ne pouvions faire autrement que d'être dans la même tente. À peine couchés, c'est lui qui me mit la main au paquet et qui s'activa sur mon membre qui n'attendait que ça. Il s'arrêta, je descendais ma main, le branlai et allai assez vite mettre ma bouche sur son gland pendant quelques minutes et me relevai. Je pris sa tête dans ma main et l'encourageais à aller vers le bas et, surprise, il descndit et me gratifia d'une pipe géniale, longue et je ne pus m'empêcher de me mettre en 69 sur le côté pour lui bouffer la queue sans retenue pendant qu'il faisait de même. Au bout d'un long moment, il se remit à l'endroit et reprit ma bite dans sa main, comme si de rien n'était et ne me suça plus de la soirée. Moi par contre, je lui demadais quelle position il préférait pour jouir et il vint à genoux au-dessus de moi et je le branlais, la langue sortie, sans équivoque sur ce que je voulais et j'aspirais ensuite seulement son gland, le branlant franchement jusqu'à ce qu'il me remplisse la bouche de son foutre que j'avalais jusqu'à la dernière goutte.
7Ryan-Phillipe---Josh-Ellio.jpg Plusieurs fois, j'ai avalé son foutre et il m'a resucé nombre de fois aussi. Nous ne pouvions finir une soirée ensemble, ou un après-midi chez lui sans se soulager mutuellement.
Plusieurs mois après, je fis une petite soirée chez mes parents et vu qu'une petite dizaine de personnes restaient dormir, j'invitais Stéphane à dormir avec moi dans le lit de mes parents et nous avons commencé notre affaire. Je l'ai sucé, il m'a sucé et comme j'en avais très envie et que j'avais mes doigts depuis 10 minutes dans mon cul, je vins m'asseoir sur sa bite bien bandée. Son gland entra pratiquement entièrement en moi mais il prit sa queue et l'enleva en me disant qu'il ne voulait pas aller plus loin que ce que l'on faisait déjà. J'avais des fourmillements dans l'anus tellement j'y avais cru et tellement j'attendais cela depuis longtemps. Je le suppliai mais rien n'y fit et je dus me contenter de le faire gicler dans ma bouche avec quatre doigts dans le cul comme seule friandise.
Le weekend suivant, nous sommes partis en camping et sous la tente, j'expérimentais le suçage de téton et sur lui l'effet fut incroyable. Il n'arrêtait pas de dire: "Putain, oh putain!" et il fut obligé de me rouler notre première pelle pour ne pas hurler. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas réessayé de m'empaler sur lui alors que je suis sûr qu'il aurait accepté. J'ai juste voulu son sperme sur mon visgae et le mien sur son torse.
Je suis maintenant avec une fille depuis cinq ans et lui a une copine aussi. La dernière fois que l'on s'est retrouvés seuls pour mater un film porno, c'etait il y a deux ans environ et je l'ai sucé mais il ne voulait plus aller plus loin, même pas jouir sur moi.
S'il lit cette histoire, je l'ai sucé dans ma chambre, dans sa chambre, en camping, dans toutes les pièces de ma maison, dans pratiquement toutes les pièces chez lui, chez pratiquement tous nos potes. S'il veut essayer un nouveau lieu, qu'il me le dise et j'arrive.
Et si quelqu'un veut me faire ma première sodo, je suis "ouvert"...

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Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay - Communauté : Espace Gay Sexe
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